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> Long Reparation Time 2.4 Full, Dans l'enfer de ce mod
AdmiralGuntherLu...
posté dimanche 27 novembre 2011 à 15:36
Message #1


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Long Reparation Time 2.4 Full

Dans l'enfer de ce mod

Dans la pénombre d'une nuit d'automne au-dessus de l'Écosse, le 13 octobre 1939.
Après avoir improvisé une petite visite dans le port de Lerwick sur l'Ile de Shetland,

Plus au nord de Scapa Flow que j'avais reçu ordre express de l'Admiral Doenitz d'éviter pour, je ne sais plus quelles raisons obscures.

Deux destroyers en rade furent mes premières victimes et nous avions échappé à un troisième qui nous recherchait.
Nous sommes par la suite redescendus vers l'Ile de Mainland après l'avoir contourné par le détroit nord en faisant route au 2.7.0 et d'aller chasser dans les eaux glaciales du sud du Royaume-Uni, en longeant la côte pour ses proies facile et isolée.


Nous sommes maintenant au nord des Highlands.
Mon officier de radio me signale avoir réceptionné un message d'un cargo et celui-ci trahit sa position.
"Les machines en avant toutes" que dis-je.
Quatre heures de route vont nous suffire pour le croiser au-dessus de la baie King of Tongue.
Je demande à l'Officier canon et à deux matelots d'armer le quatre-vingt-huit puis de faire un tir de sommation réglementaire dans le tas pour l'arraisonner.
Le bougre, une heure de tir et le cargo finit par donner des signes de faiblesse.
Il zigzaguait à vive allure pour tenter de fuir.
Je ne m'en rends pas compte, mais pendant l'attaque, notre U-Boot c'était approché de trop près de la passoire en flamme, quand celui-ci explosa.
Je perds mes trois gars qui étaient sur le pont et il faudra deux jours à mes gars pour réparer ce fichu de canon.

Il était vingt-deux heures

Entre temps, impardonnable, je décide quand même de continuer la route.

À peine quelques heures plus tard, mon officier de veille repère une fumée à l'horizon.
Des yeux de chouette cet officier.


Personnellement, je ne voyais pas plus loin que la proue de cette pirogue tellement la nuit était noire.
N'ayant plus de canon, je m'en mords encore les doigts.

Et afin de se faire la main par un peu d'entrainement, car ceci n'étant pas mon point fort.

La stratégie était simple.

Mes hommes préparaient une torpille pour l'accueil du téméraire qui allait devenir notre cible pendant que nous nous approchions.
Puis vitesse en avant toute, faire un tir de près en surface en plein dans ses flans pour ne pas le louper juste avant de plonger , comme il nous avait été enseigné, à nous les Kapitainlieutnants des U-Boots de la Kreigsmarine dans la mer Baltique.
Mais par un retournement de situation, je m'aperçus que soudain, nous étions trop près et non plus dans une position favorable de tir d'un convoi de cuirassiers et de quelques destroyers.




Un gros convoi, que des souvenirs !
Ils faisaient routes vers ce pauvre, ça me brûle la gorge, cargo chèrement troué qui avait eu le temps de lancer un SOS avant de couler.
Deux cents mètres, c'était environ la distance du plus dangereux que je voulais envoyer par le fond.




" ALAAAAAAAAAAAAAAAAARME!!!!!!!!!!."

Plonger d'urgence puis immersion périscopique.

Juste avant de fermer l'écoutille, j'avais eu comme un doute, un pressentiment,

"Argh?! Mais bon sang, nom d'un Admiral. Ils sont bourrés au quoi. Ils filent à l'Anglaise?!"
J'ordonne de faire surface et l'officier d'arme m'annonce qu'ils sont trop loin pour régler les torpilles et qu'ils vont trop vite pour pouvoir les rattraper.
"Les rattraper??"
Encore une comme ça et c'est à la nage que tu vas rentrer au pays toi.
J'en avais oublié les règles élémentaires de politesses et de courtoisie entre officier.
Mais eux, ils avaient carrément oublié de ce qu'ils n'avaient pas et pour lequel ils se battaient.
Les lâches?!
Ils ne nous avaient tout simplement pas vues et l'occasion était évidemment trop belle pour être manqué, incroyable?!
Nous continuons notre route.
Bizarrement une curieuse ambiance commença à régner à bord.
Je ne serais pas la décrire, c'était particulièrement inconfortable.
Il était six heures du matin et avions dépassé l'entrée du détroit de The Minch et nous nous apprêtions à contourner les Hébrides.
Nous n'avions pas encore à l’idée que le pire n'était pas encore venu.

Le lendemain après-midi, le repas était copieux et les aliments frais.
Ils n'avaient qu'une semaine et demie de mer.

L'équipage et moi-même nous nous sentions d'attaque.

Il fallait, comment dire, se refaire comme un coup de poker par ce que notre orgueil en avait pris un coup.
Il fallait remonter dans notre estime.



Je décide une incursion en plein jour dans la mer d'Irlande.

Je voulais voir Belfast de près avant longer le détroit jusqu'à la mer Celtique et
si la chance nous souriait, de gouter à cette bonne bière rousse qui avait envahi la conversation des marins amateur d'orge et de houblon.



Mais c'était comme demander à un athée de croire au bon dieu pour ce qu'on allait subir.
Après tout, nous l'aurions bien cherché avec cette idée de génie.
Au bout de deux heures, l'officier de veille signal quelque chose dans le ciel.


"Alle Mann auf die Kampfstation !!! "
Traduction Tous le monde au poste de combat !
Un Fairey Swordfish.
Il finira par se faire descendre par la flak.

Puis vint un deuxième, pareil, il termine en flamme et part embrasser la mer.

Ce cimetière géant millénaire pour marin.



Un tireur d'élite cet officier.
Il faut dire qu'on allait de pair.
Nous attendions que le Fairey soit suffisamment près avant de faire feu.
Et il ne lui laissait aucune chance pendant en même temps, je manœuvrais pour éviter ces lâchés de bombes.
C'était presque toujours la même chose, ils ne pouvaient pas faire une passe en courbe.
Au dernier moment, j'ordonnais "la barre à gauche toute?!" ou "à droite?!"
Leurs saloperies tombaient toujours à côté.


Le problème, il n'était qu'ils en venaient de plus en plus, comme de vraie mouche à merde et collante en prime.

Quand ils nous canardaient, c'était assez proche et rapide.

Ça explosait en nous faisant quand même des dégâts.

Mon officier flak en abattit ce jour-là neuf à la suite, avant de se faire descendre à son tour par un dixième en plein dans notre midi

Celui-là nous a fait mal, nous n'avions pas eu le temps de l'éviter.

Je l'avais oublié ou pas vu comme un mousse.

Nous n'étions que deux sur le pont juste afin de réduire le temps de plongée au cas où ça tournerait au vinaigre.



Pendant que je récupérais mon officier pour le mettre à l'abri et le faire soigner.

Nous subissions de graves avaries pour une malheureuse tentative d'incursion.
Ces terreurs du ciel ont touché les deux compartiments moteurs diesel et électrique, et
plus grave, détruit la salle des torpilles de poupe, des dégâts sur tout le U-Boot et tués un autre matelot.
J'avais ordonné une plongée d'urgence comme il devenait nécessaire de le faire, ils en venaient de plus en plus.


Je ne m'étais pas aperçu que véritablement, nous coulions.
Tous les marins étaient débordés par l'ampleur des dégâts,
Nous avions passé tout l'après-midi, enfin moi sur l'ordi, à dériver vers le fond, le type VIIB à l'équerre avec deux destroyers au-dessus de nos têtes qui s'étaient joint à la fête.
En ces circonstances, un sérieux choix cornélien allait s'imposer.
Abandonner ou gérer une situation honnêtement impossible.

Le vrai dilemme inutile parce que ça ne se passe jamais comme on le veut.

Il y a toujours ce petit quelque chose de scientifique qui s'appelle "la loi des emmerdements maximum "

Il a fallu s’adapter.



Dans les compartiments les plus touchés à l'arrière, l'eau montait très vite.

Le manque d'équipage, c'était fait cruellement sentir.

Il faut dire que cinq morts dans les rangs à cause de mes erreurs stupides.

Ceux-là m'étaient aussi indispensables qu'une pompe hydraulique pour nous sortir de cette descente aux abysses.

Épuisés par la tâche, ils n'ont pas rechigné à leurs devoirs pour autant.
Mais, il s'est passé comme une éternité pour pomper l'eau qui mouillait à peine les bottes dans le compartiment les moins touchés


Les trois compartiments à l'arrière allaient pour moi être foutu. J'en avais réellement besoin. La salle lance-torpille de poupe étant le plus inondé jusque dans les quatre-vingt pour cent, il m'alourdissait considérablement l'U-Boot.
J’avais toutes les peines du monde pour me maintenir à une profondeur stable que je n'arrivais pas à avoir.
Il nous fallait sauver la salle des machines électriques sur le point d'être perdu aussi.
À pleine puissance, les moteurs ne donnaient plus qu'une vitesse maxi de un ou deux nœuds.
Pas suffisant pour se tirer d'affaire, mais ça ralentissait surtout la descente.

Partout, l'eau n'arrivant pas à être évacué, il fallait aussi réparer les dégâts d'urgence.
Les batteries étaient noyées sauf vers l'avant, mais elles étaient quand même inondées aussi.
Je ne vous fais pas de dessin, nous essuyons les colis piégés que le comité d'accueil nous envoyait à chaque passage.
Et pas question du silence à bord pour échapper à l'asdic.
L'abandon était devenu une évidence.
Je voulais Chasser au ballast, faire sortir l'équipage, puis se saborder pour mettre un terme à la campagne avec les honneurs.
Pfff !!! c'te bonne blague.


Les deux tiers furent vidés et cela ne servit à rien.

Nous coulions toujours.

Touché par les grenades, le compresseur, le périscope d'attaque et l'hydrophone furent ruinés.

Coller au seul périscope d'observation qui nous restait, je préparais la manœuvre d'évitement que notre boite à sardine, en train de devenir notre cercueil, effectuait avec beaucoup de difficulté.


Je voyais tous au périscope.
Je voyais surtout le fond marin qui se rapprochait dangereusement de la poupe, ce qui signifiait la mort pour tous les hommes tentant l'impossible pour nous sauver.
Dans une position à l’équerre avec la salle des torpilles et des machines inondées, si la poupe alourdie raclait le fond, l’U-Boot s’ouvrait en deux et s’en était fini.

À chaque sondage de la profondeur sous la quille, l’officier m’annonçait un ou deux mètres et des destroyers.

Ça allait encore gueuler leur mère à chaque coup de pétards.


Par, je ne sais quel esprit de lucidité, je dus me résoudre à quelques sacrifices.
Laisser les compartiments les moins touchés à l'avant et la salle des commandes s'inonder.
Mettre les hommes disponibles aux repos forcés puis les alterner ensuite avec les plus fatigués.
Je n'en avais que quelques un.
Monopoliser tout le reste de l'équipage à évacuer l'eau des salles des machines et réparer en priorité les moteurs électriques à moitié immergé.
C'était la seule chance qui nous restait pour au moins ne pas racler le fond et pendant six longues heures.


Cette situation dramatique qui ne s'était pas arrangée, quand, une toute petite lueur d'espoir vint ranimer la rage de vaincre de tout l'équipage.

Les destroyers qui nous collaient et n'avaient peut-être plus de grenade sous-marine depuis un bon moment, on finit par nous laisser à notre sort.

Je vous laisse deviner ce qu'on a essuyé.

Étions-nous passé sous la thermocline ?
Pour leur échapper, notre U-Boot faisait route au 2.7.0 vers l'océan Atlantique.
À ce moment-là, avec une vitesse de deux nœuds, l'engin s'était stabilisé à quelque mètres du fond.
Il ne fallait pas non plus se faire trop d'illusion, parce qu'il n'était pas possible de remonter.
De plus, je ne distinguais plus la surface.
Nous étions très bas et l'hydrophone était hors d'usage.
Nous ne nous savions pas à quoi nous attendre.
Le temps passé à pomper l'eau à l'arrière ne servait à rien, il fallait aussi que je rappelle les gars pour pomper l'eau à l'avant, avant de les renvoyer vers l'arrière qui menaçait de nous noyer.


Ça n'en finissait jamais, et pendant encore les six autres heures qui allait passer.
À un moment où le niveau du Dioxyde de carbone devenait dangereux.
Notre chance de salut fut venu de la part des moteurs électrique.
Ils ne nous ont pas lâchés.
Même mieux que ça, ils donnaient de plus en plus des signes de vitalités.
Petit à petit, nous arrivions à gagner mètre par mètre pour finir de se rapprocher un peu plus de la surface.
C'était toujours ça de pris.


Pendant un temps, les quelques gars que j'avais mis au repos forcé étaient réutilisés pour finir de réparer les avaries les moins graves afin de sécuriser les compartiments avant.
Assez risqué, cela mettait en péril l'équilibre.
Si les hommes étaient trop fatigués, l'eau n'étant plus évacué, pire, le niveau remontait.
Ce petit compromis avait fini par payer, nous avions fini par reprendre le contrôle du sous-marin.
L'eau en partie évacuée et le compresseur réparé, on chasse au ballast le peu qui reste d'air comprimé.
Est là, un vrai miracle.
Le profondimètre remontait vers le niveau de la surface jusqu'à l'atteindre.
L'équipage gueulait sa hargne contre cette mort qui nous tendait les bras et qui finalement n'avait pas voulu de nous.
Personne n'y croyait, mais nous avions gagné .


Mais ce n'était pas fini pour autant.
Une fois en surface, il fallait faire face à deux situations inconnues.
La plus importante, la présence d'ennemi dans les parages.
Sous l'eau, sans hydrophone, même avec le périscope, nous étions aveugles.
Quelle chance, il faisait nuit et il n'y avait personne.

"Ouf putain !!!" le mot est lâché, je n'ai pas pu me retenir et puis je m'en fous complétement parce qu'on revient de loin.

L'autre situation assez préoccupante aussi était que nous n'avions plus de moteur diesel.

Mais c'était réparable.

"Merde! ", encore une grossièreté de lâché. Je ne deviens vraiment pas poli.
Bloqué à la surface en pleine mer, les hommes ont travaillé d'arrache-pied pour tout me remettre en état.
Et moi, assoupi, je guettais la moindre alerte.
On ne pouvait pas se permettre de replonger.
Non, plus maintenant, pas encore.
Après tout ce qu'on a enduré, ce gaspillage d'énergie dépensé n'aurait pas été supportable.
Douze heures vont nous êtres encore nécessaires avant d'entendre les machines ronronner pour de bon.
Régime pleine puissance, ni l'une ni deux, on rentre à la maison.


Si vraiment, on y parvient.
Parce qu'après tout, la poisse ne nous a peut-être pas encore dit son dernier mot.
"La garce !!!"
je le sais, je suis devenu infréquentable, mais ça m'est complètement égal.
Les machines vont tous donner.
Finalement, la chance qui va nous sourires à nouveau en rentrant.
Nous croiserons quelques tonnages avant d'arriver à bon port, moins d'une semaine plus tard.

À la maison, je n'ose imaginer la biture sévère qui va nous attendre.

On va se mettre comme des minables.

Et quand on y pense, cette cuite sera probablement notre dernière.
Car la guerre n'est pas finie, elle ne fait que commencer
Mais nous, on s'en fout, tout ce qu'on veut, c'est de profiter de ce qu'il nous reste à vivre.
Réédition

J'ai profité de cette relecture pour corriger les fautes et autres formulations qui me piquaient les yeux.

Pour la petite anecdote, Ce qui fut une période ou le PC a tourné pendant plus de trois semaines sans jamais avoir été éteint ni relancé de sauvegarde.
Je ne revivrai pas cette expérience telle que je l'ai vécue par ce que ce n'est qu'un jeu.
mais cette partie a été très intense et ont en sort quand même éprouvé.
Je vous souhaite à tous une très bonne lecture.
Mes amitiés et bon vent.







Ce message a été modifié par AdmiralGuntherLutjens - dimanche 09 avril 2023 à 16:34.


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pascal4541
posté dimanche 27 novembre 2011 à 16:38
Message #2


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Ouragan

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Merci pour ce magnifique et complet récit Admiral wink.gif


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Invité_ian_*
posté dimanche 27 novembre 2011 à 18:55
Message #3





Invités






ohmy.gif Bravo pour ce récit ainsi que le suspens!Nous vous nommons sonneur en chef de la cathédrale,mon fils. sleep.gif Plus besoin de naviguer pour toi maintenant.Non,non ne me remercie pas. angel_not.gif Encore bravo. wink.gif
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ColonelKlink
posté dimanche 09 juin 2013 à 10:19
Message #4


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Petite brise

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Un recit du feu de dieu, j'ai pris un grand plaisir a le lire, c'est comme si ont y était, que de suspence, je te tire mon chapeau de t'êtres tiré d'une situation aussi difficile...
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Hankwolf
posté dimanche 12 janvier 2014 à 15:23
Message #5


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Très légère brise

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Alors là, chapeau bas ! ton récit est très vivant et réaliste on voit les hommes d'équipages travailler, angoisser,suer, se crever pour s'en sortir... Un vrai récit de guerre ! j'espère que vous allez repartir en mer avec des jeunes recrues pour remplacer les morts et couler ces satanés Rosbeef qui ont bien faillit vous avoir.
Une revanche s'impose !
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Cerumno
posté dimanche 12 janvier 2014 à 16:31
Message #6


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Grand-frais

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Membre no 19929



Ah, c'est avec ces récit là que j'ai découvert le plaisir de jouer à mon tour. rolleyes.gif


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Pour savoir prier, il faut avoir été marin
L.J. Silver
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AdmiralGuntherLu...
posté dimanche 09 avril 2023 à 16:35
Message #7


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Vent frais

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Réedition du texte


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Gibus
posté lundi 10 avril 2023 à 11:08
Message #8


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Le Pacifique est un océan immense. Vous n'y trouverez pas l'ennemi si vous ne le voulez pas. Richard O'Kane.
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