chirurgien de la grande Armée, Ou le coupe-Larrey Options

[murat]

Ce livre n'as pas de rapport direct avec notre domaine d'interet; mais ce ne sera pas le premier écart.

Percy est un chirurgien, dont le pere d'origine modeste etait lui meme chirurgien. Eleve appliqué et praticien reconnu par ses contemporain à travers de nombreux prix qu'il obtenu avant la période qui nous interesse; percy suit la grande armée a travers les plaine desolée de pologne jusqu'aux terres arides d'Espagne.

Percy dans son journal depeint son quotidien et celui de la grande armée dont il ne parle pas forcement avec complaisance. Il n'epargne pas de décrire les village pillé par les differentes unitées qu'il accompagne, les edifices brulé, les maison sacagée...etc et ce de façon systematique. On regretera l'absence de physionomie; aucune figure n'est en effet decrite pas percy. Le lecteur est aussi susceptible une sorte de lassitude à force de savoir que l'auteur à fait bon chemin, bonne chere, mauvaise chére, que le rossignol...etc. Il ne faut pas s'en etonner percy reste un homme du XVIII est ça se sent dans l'écriture, et cet emoit constant face à la nature. S'agissant d'un journal ecrit presque au jour le jour, il est surprenant parfois de passer à la description d'un tableau iddylique à celle d'un amputation de la cuisse...mais comme j'aime les ruptures violente; je suis servit !

Si vous n'avez pas fait medecine, un petit lexique de termes medical du XIX sera necessaire, pour jouir (malgrés soit) des description de percy. On finit par eprouver une sorte de fascination morbide à essayé de se representer certaines blessure...pour finalement éprouver un degout profond pour la guerre, et celui qui la mene. Les differents avec l'administration prennent une place assez importante pour faire perdre quelque peu l'interet du journal pour le lecteur que je suis.

Néanmoins ce livre depeint parfaitement les conditions et l'etat de la chirurgie française sous Napoleon, ainsi que l'etat dans laquelle elle se trouve...et qui dit chirurgie defaillante; dit soldat de misére. Car c'est vraiment dans la detresse que ce trouvent les blessé...pas de nourriture, nus, pas de charpie, pas de bandage, perfois meme pas de paille...des cadavre à peine vivant croupissant dans les ordures les plus répugnante; sans compter cette odeur de charogne qui vous poursuit partout. Quel guerre ! La lecture de certain passage m'a fait relativiser la cruautée et l'horreur de certain acte pendant la seconde guerre mondiale; qui à cette époque etaient legion... (et percy reste trés plein de pudeur, c'est pour dire! )

bref interessant, icic il n'est pas question de fait d'arme et de grande figure, mais de la misére humaine qui fut le prix de la Gloire de L'Empereur.



Je n'ose pas meme penser à la chirurgie française sur les navires...