Résultat:

Tous les sous marins de retour au port sans égratignure.

Mon journal de bord:


Tous les cuirassés sont au fond de l'eau
Un travail d'équipe aux petits oignons ...
Très jolie partie, merci Gibus

Courtier en technologie humain exclusivement dans le système MBOONI

Pour chaque arme une par une ...
9 Fer
11 Zirconium
6 Conduits biomécaniques
7 Débris d'épave
14 Pièces d'armement

Courtier en technologie humain exclusivement dans le système MBOONI

Pour chaque arme une par une ...
11 Fer
16 Zirconium
9 Conduits biomécaniques
12 Débris d'épave
17 Pièces d'armement
6 Données de systèmes de vaisseau

ZINC
FRAGMENT CHRISTALLIN

Dans votre station préférée on vous propose les missions:


Dans la salle d'attente il y a les missions de transport:



Au choix transport en commun ou privé:

“Pour le joyau qui brille sur le front de la mère de toutes les galaxies ! Pour celle qui murmure dans les confins de l’hyperespace, la sirène du néant ! Le deuil d’un parent, la tristesse d’un amant, le désir de nos cœurs vagabonds. Pour Raxxla !”

-Allocution attribuée à Dark Wheel

La légende de Raxxla se perpétue à demi-mot depuis des siècles. La recherche de cet endroit mystérieux, dont l’emplacement est un secret des mieux gardé, serait l’objectif principal de Dark Wheel, une mystérieuse fraternité de chasseurs de légendes établie à l’époque des premiers voyages interstellaires. La première mention de Raxxla remonte à l’an 2296, dans le journal d’Art Tornqvist, un mécanicien de bord basé dans le système Tau Ceti. Il y écrit : “Cora rentre à la maison ivre tous les soirs et me raconte ses folles histoires. Elle prétend avoir trouvé une carte menant à je ne sais quelle cache pirate. Apparemment, tout ce que j’ai à faire, c’est de lui prêter mon vaisseau pour qu’elle aille le trouver. On devrait peut-être partir à la recherche de Raxxla tant qu’on y est !” Bien que le journal de Tornqvist contienne la première référence écrite de Raxxla, le contexte confirme bien que le mythe se transmettait déjà de bouche à oreille à l’époque. De fait, il est difficile de mettre en corrélation les différentes rumeurs fragmentaires relatives à Raxxla. À l’instar des mythes antiques de l’Atlantide, de l’Eldorado ou encore du royaume du prêtre Jean, les interprétations de son histoire vont des plus sceptiques aux plus folkloriques : selon les versions, Raxxla ne serait qu’une lune ordinaire… ou cacherait le secret d’un état d’illumination cosmique. Les documents les plus anciens semblent toutefois s’accorder sur certains points : Raxxla existe bel et bien, et abrite un secret mystique.

Certaines versions du mythe mentionnent également un artefact extraterrestre, la faille de l’Omphalos, qui serait un passage ou un tunnel menant à des univers parallèles. La crédibilité de ces informations a néanmoins été mise à mal lorsqu’un parallèle indéniable avec le conte pour enfants “La princesse Astrophel et la spirale d’étoiles” a été établi. Les plus fervents adeptes du mythe ont quant à eux prétendu que l’auteur du conte y avait intentionnellement dissimulé des informations sur la mystérieuse planète, et qu’il suffisait de lire entre les lignes. Les spécialistes de l’étude de Raxxla soulignent que ces légendes exercent une étrange fascination sur l’esprit de ceux qui la recherche, sensation qui n’est pas sans rappeler la notion de “fernweh”, cette nostalgie inexplicable pour un endroit que l’on n’a jamais visité. Nombreux sont les chasseurs de trésor à avoir voué leurs vies entières à la recherche de Raxxla, une quête aussi obsessionnelle qu’exclusive, mais néanmoins futile. Raxxla joue également un rôle dans différentes théories du complot. Selon la plupart d’entre elles, sa découverte aurait étouffée par une sinistre cabale (ou un tyran isolé), qui utiliserait son pouvoir pour faire ployer le reste de l’humanité sous son joug invisible. Quoi qu’il en soit, il est indéniable que la légende de Raxxla passionne aujourd’hui encore les explorateurs et les conspirationnistes de tous genres.

“Oh ça, oui, ils existent. Je ne les ai jamais vus, mais je sais qu’ils existent. Tout le monde connaît les histoires, pas vrai ? Franchement, ce serait facile pour un groupe d’arnaqueurs à la petite semaine de se faire passer pour Dark Wheel et de profiter de sa réputation pour s’en mettre plein les poches… Et pourtant, personne tente le coup… Enfin… si, mais ça marche jamais. Tous ceux qui essaient de s’approprier le nom de Dark Wheel passent l’arme à gauche vite fait, bien fait. C’est comme ça que je sais qu’ils existent.”

-Felicity Farseer, exploratrice

“Dark Wheel” serait un groupe légendaire d’aventuriers, explorateurs, enquêteurs et chasseurs de trésor, dont l’existence est si difficile à prouver qu’on le considère généralement comme un mythe. Le nom de cette mystérieuse organisation est souvent associé à celui, tout aussi légendaire, de “Raxxla”. Les tenants de l’existence de Dark Wheel estiment qu’il s’agit d’une organisation clandestine qui opérerait sans discontinuer depuis les balbutiements du voyage interstellaire. À en croire les légendes, seule une poignée de pilotes parmi les plus courageux et les plus expérimentés de chaque génération recevrait une invitation à rejoindre ce groupe. Toute tentative d’entrer en contact avec Dark Wheel serait toutefois en pure perte. En effet, ce serait toujours le groupe qui fait le premier pas, sous couvert d’anonymat, et la véritable identité de ses membres ne serait révélée qu’aux candidats ayant surmonté une épreuve de bravoure et d’aptitude. D’autres théories conjecturent, entre autres, que l’atavisme serait un facteur déterminant. Les membres existants formeraient ainsi leurs enfants à leur insu et leur révéleraient leur appartenance à Dark Wheel que lorsque ceux-ci seraient jugés prêts. À l’inverse, il se dit également que certains membres s’opposeraient farouchement à la participation de leur progéniture, du fait de l’extrême danger que leur feraient courir les secrets du groupe.

Lyta Crane, experte autoproclamée de Dark Wheel, conspirationniste et “journaliste du peuple” ayant méticuleusement rassemblé des données pertinentes, affirme pour sa part que le groupe d’origine était basé dans un spatioport abandonné, en orbite autour de la neuvième lune d’une géante gazeuse. La station était toroïdale, d’où le terme “wheel” (ou “roue”), et opérait avec une génération d’énergie minimale afin d’éviter toute détection, d’où le terme “dark” (ou “sombre”). Mme Crane est convaincue que ce spatioport est toujours opérationnel. Il serait le seul moyen pour un nouveau membre de Dark Wheel de confirmer l’identité de l’organisation en examinant les archives et les artefacts qui y sont entreposés, ce qui lui permettrait de vérifier que le groupe opère effectivement depuis des siècles. Aucun spatioport de ce type n’a toutefois pu être localisé, et d’autre experts accusent Crane d’avoir falsifié ses preuves afin de s’assurer les revenus générés par ses milliards de lecteurs. Nombreux sont ceux qui, au fil des années, ont prétendu appartenir à Dark Wheel, avoir identifié un ou plusieurs membres du groupe, ou encore localisé sa base d’opérations. Cependant, la nature contradictoire de toutes ces allégations suggère que la plupart, sinon toutes, sont fausses. En 3300, un groupe revendiquant son appartenance à Dark Wheel a fait son apparition dans Shinrarta Dezhra, un système stellaire inaccessible aux pilotes de rang inférieur à Élite. Nul ne sait si ce groupe est un descendant légitime de Dark Wheel, une reconstitution de l’organisation d’origine ou un rassemblement d’imposteurs opportunistes.

“Nous étions vraiment dans le pétrin et d’autre gens sont venus nous porter assistance de leur propre initiative. C’est dans notre nature. Bien entendu, le côté dément de toute cette opération a joué en notre faveur. Ça ne rendait chacun que plus déterminé.”

-Jaques, propriétaire de Jaques Station

Colonia se trouve à près de 22.000 années-lumière des systèmes stellaires du centre de la galaxie et fut le premier système à être colonisé par les humains dans la nébuleuse de Colonia, dans des circonstances plus qu’inhabituelles. Sa colonisation s’est en effet déroulée à l’initiative de pilotes indépendants, et ne résulte pas d’un programme d’expansion classique. Tout a commencé avec un accident impliquant Jaques Station, un spatioport Orbis capable d’effectuer des sauts en hyperespace. En mai 3302, on pensa la station perdue pour de bon lorsqu’elle n’atteignit pas sa destination après un saut longue distance jusqu’à Beagle Point. C’est un pilote qui découvrit Jaques Station en juin 3302, dérivant dans le système d’Eol Prou RS-T d3-94 avec de sérieux problèmes techniques. La communauté galactique réagit promptement à cette nouvelle en lançant une action indépendante de ravitaillement pour rendre le spatioport de nouveau opérationnel. Ce qui n’était au départ qu’une simple opération humanitaire prit rapidement un autre tournant lorsque nombre de ses participants commencèrent à considérer ce lointain système comme une occasion de fonder une nouvelle communauté, loin des éternels conflits et de l’immobilisme des systèmes centraux.

Les discussions utopiques à propos d’une colonie permanente évoluèrent peu à peu en projet organisé. En septembre 3302, Eol Prou RS-T d3-94 fut officiellement rebaptisé “Colonia”, et la première colonie permanente fut établie sur la surface de Colonia 2A. Un afflux de migrants vint gonfler la population du système, le tout soutenu financièrement par le Colonia Council, le tout nouveau gouvernement du secteur, et matériellement par les pilotes indépendants. Colonia est considérée par beaucoup comme l’incarnation de l’esprit de communauté et de l’ingéniosité humaine, ainsi que le premier pas dans une région encore inhabitée de l’espace. Sa population est encore réduite, mais la région est en pleine expansion et attire autant l’attention de colons pleins d’espoir que celle de corporations entreprenantes. À ce jour, Colonia reste épargnée par les conflits incessants des systèmes centraux, ce qui lui vaut sa réputation de sanctuaire. il reste cependant à déterminer si cette communauté naissante prospérera en restant isolée, ou si les autorités politiques et les corporations finiront par s’en mêler.

Introduction
“La plus grande société commerciale au monde.”

-titre autoproclamé de l’East India Compagny, 1600 - 1708

À l’époque où l’humanité était confinée à une unique planète, les entreprises étaient naturellement restreintes en terme de taille et d’influence, à l’image de poissons confinés dans un bocal. Confrontées à des ressources naturelles limitées et à une arène relativement restreinte, elles n’étaient pas en mesure d’atteindre leur plein potentiel. Cependant, avec l’arrivée du voyage interstellaire, ces poissons ont été relâchés dans l’océan. Les entreprises pouvaient enfin envisager d’exploiter pleinement les gisements de minerais de planètes entières. En parallèle, l’explosion démographique, dynamisée par des vagues de colonisation massives, ne faisait qu’élargir leur clientèle. Pour les gouvernements de l’époque , le potentiel de croissance de ces entreprises représentait tout à la fois une opportunité exaltante et un défi terrifiant. Cette prospérité commerciale serait synonyme d’une hausse des revenus fiscaux et d’une baisse du chômage, mais elle s’accompagnerait également du risque de voir se développer des flottes de sécurité privées capables de rivaliser avec les armées officielles. Les plus grandes corporations, imaginait-on à l’époque, deviendraient inévitablement des États-nation à part entière. Les restrictions d’antan n’étant plus de mise, rien n’arrêteraient leur expansion.

Aujourd’hui, cette vision est partiellement devenue réalité. Plusieurs entreprises possèdent des systèmes entiers. Pour de nombreux employés, foyer et lieu de travail ne font plus qu’un. Les individus travaillant sur ces vaisseaux, dans ces raffineries et dans des avant-postes sont condamnés à passer toute leur existence sous la coupe de leur entreprise. Pourtant, malgré ces richesses et cette puissance colossales, les corporations se sont jusque-là bien gardées de défier l’Alliance, l’Empire ou la Fédération. Au contraire, elles se satisfont d’opérer sous la juridiction des superpuissances et dans le respect de leurs règles. Deux grandes raisons sont avancées pour expliquer cette passivité apparente. D’une part, la clé de la prospérité d’une corporation réside dans la maîtrise de ses domaines de prédilection. Assumer les responsabilités coûteuses d’un gouvernement ne constituerait alors qu’une distraction inutile. D’autre part, ces entreprises tirent déjà une grande partie des ficelles du pouvoir, notamment au sein de la Fédération. Elles n’auraient donc aucun avantage à tomber le masque. Après tout, mieux vaut privilégier les ombres, faire mine de respecter les règles et s’en remettre à la puissance de l’argent pour poursuivre ses objectifs et son développement.

Achilles Corporation
“Optimiser, itérer, affiner”

Achilles Corporation est le leader du marché de la technologie informatique. L’entreprise est notamment connue pour ses ordinateurs de bord efficaces et fiables, que l’on trouve dans la plupart des vaisseaux spatiaux. La crainte du saut en hyperespace qui tourne à la tragédie à cause d’un dysfonctionnement informatique - un scénario catastrophe sur lequel Achilles a su capitaliser dans ses campagnes publicitaires - a grandement contribué à fidéliser une clientèle dès les premiers jours de la corporation. Achilles Corporation est également pionnière dans le secteur de la robotique, et l’entreprise souffre depuis longtemps des interdictions interstellaires liées à la création d’intelligences artificielles. Selon la rumeur, elle aurait tenté, à la fin des années 3200, de contourner ces restrictions en plaçant des cerveaux biologiques développés en laboratoire dans des organismes robotiques. Pourtant, aucune preuve n’est venue étayer cette rumeur, que les membre du conseil d’administration d’Achilles n’ont même pas pris la peine de nier publiquement. Il a également été avancé que les directeurs de la société eux-mêmes disposeraient d’améliorations cybernétiques, ce qui expliquerait l’agressivité de leurs acquisitions et tractations commerciales. Quoi qu’il en soit, leurs activités publiques se démarquent par une efficacité impitoyable. Quant aux opérations plus discrètes, on parle de recours au chantage, voire de meurtres, mais l’entreprise a répondu que ces rumeurs relevaient du “fantasme” et étaient colportées par des “individus vraisemblablement envieux du succès de la société”. Ces interventions n’ont toutefois pas suffi à faire taire les mauvaises langues. Aujourd’hui, la réputation d’Achilles Corporation est si intimidante que les entreprises plus modestes courbent généralement l’échine au premier signe d’intention de rachat, sans même tenter de négocier de meilleures conditions. Nul ne veut voir une campagne de diffamation mettre fin à sa carrière.

Caine-Massey
“Rien de tel qu’une journée de travail bien remplie”

Caine-Massey illustre parfaitement les miracles qu’un changement d’image de marque peut accomplir. Durant l’époque de féroce concurrence qui succéda à la première vague de migration au départ de la Terre, Howlett, Caine & Calvert (HC&C), l’entreprise telle qu’elle existait à ses débuts, s’imposa rapidement comme une société minière très rentable. Un habile mélange de népotisme et de pot-de-vin permit à celle-ci d’obtenir un accord exclusif avec la Fédération concernant les droits d’exploitation minière de nombreux systèmes, sous condition de réussir à exploiter ces ressources de manière concluante dans le temps qui lui était imparti. Afin de lancer ses opérations minières le plus rapidement possible, HC&C fit des compromis sur les normes de sécurité, revit à la baisse la qualité de son équipement et promit des avantages incroyables à ses employés potentiels. Lesdites promesses ne furent jamais tenues et les fréquents accidents de travail étouffés par l’entreprise. Lorsque les profits de HC&C furent finalement révélés au grand jour, l’entreprise était connue de tous et les conséquences furent désastreuses. Malgré les dédommagements offerts à ses employés pour faire bonne figure, l’image de l’entreprise était salie à tout jamais aux yeux de l’opinion publique. C’est une fusion avec Massey Haulage, une entreprise de logistique en difficulté financière mais très respectée, qui donna à HC&C l’occasion de changer son image pour celle d’une “petite entreprise minière locale”. Changeant son nom pour Crane-Massey, la corporation se présenta comme une humble compagnie minière qui reconnaissait le dur labeur de ses employés et les traitait avec dignité. “Dans un univers où rien n’est certain,” disaient les publicités, “Caine-Massey sera toujours à vos côtés.” Cette campagne de communication fut un véritable succès. Aujourd’hui encore, Caine-Massey est perçue par la majorité comme une entreprise à l’ancienne qui comprend et soutient la cause ouvrière. Mais malgré ce changement d’image radical et l’amélioration des normes de sécurité, l’entreprise reste plus avide de bénéfices et d’expansion que jamais.

Core Dynamics
“Une suprématie interstellaire sans égal”

Core Dynamics est un gigantesque conglomérat principalement réputé pour être le plus important fabricant de systèmes d’armement, d’équipements de surveillance et de vaisseaux de la galaxie. Les vaisseaux de combat occupent une grande part de sa production, avec des modèles allant du Eagle, un petit chasseur très maniable, au gigantesque croiseur de combat de classe Farragut, en passant par le S-4 Sentry, le protecteur le plus répandu dans la galaxie. L’entreprise est également célèbre pour ses périodes spéciales de soldes, où elle propose des vaisseaux à prix réduits pour célébrer la sortie d’un nouveau modèle ou encourager la participation à certains efforts communautaires. Core Dynamics est depuis longtemps le fournisseur officiel de la Fédération et a conçu le Federal Assault Ship, la Corvette, le Dropship et le Gunship. Ce partenariat privilégié confère également à l’entreprise un accès total au contenu des boîtes noires de la Fédération pour son département Recherche et Développement. En effet, rien n’est plus précieux que des données collectées lors de véritables affrontements pour concevoir des modèles de vaisseaux toujours plus résistants et performants.

Faulcon deLacy
“Votre passerelle vers les étoiles depuis cinq cents ans”

Au départ modeste fournisseur de matériel militaire, Faulcon Manspace a connu un succès fulgurant et inattendu à la sortie de son Viper, un chasseur aussi populaire auprès des instances gouvernementales que des populations civiles. La demande fut d’ailleurs telle que Faulcon Manspace dut en accorder la licence à plusieurs autres entreprises pour sous-traiter la production. Les bénéfices engrangés permirent à l’entreprise d’innover et de produire une vaste gamme de nouveaux modèles, empruntant tous leur nom à des serpents venimeux, comme le Viper. Le Cobra fut le premier modèle de Faulcon Manspace à avoir été élaboré spécifiquement pour les marchands, tandis que le Sidewinder fut conçu comme un appareil de reconnaissance léger et versatile. L’entreprise s’enrichit de plus en plus et commença à acquérir les différents sous-traitants qui fabriquaient auparavant ses appareils. Dans la majorité des cas, les entreprises rachetées travaillent déjà en étroite collaboration avec Faulcon Manspace et ces acquisitions se montrèrent avantageuses pour les deux partis.

En 2982, la corporation fusionna avec l’un de ses sous-traitants les plus importants, deLacy ShipWorks, et changea de nom pour devenir Faulcon deLacy. L’entreprise est à l’origine de la standardisation du système modulaire des vaisseaux qui permet aux pilotes de changer facilement les pièces de leur appareil. La marque Faulcon deLacy a notamment gagné en popularité lorsque la corporation a fourni les plans du système modulaire à ses concurrents, élargissant ainsi grandement la sélection de modules compatibles pour les pilotes. Sans cette volonté d’assurer l’intercompatibilité des composants, la maintenance des appareils aurait très vite viré au cauchemar. L’impossibilité de se fournir en pièces adéquates aurait laissé des vaisseaux endommagés coincés au hangar pendant des semaines, ou pire, aurait encouragé des mécaniciens peu scrupuleux à rafistoler des appareils avec ce qu’ils avaient sous la main. À ce jour, Faulcon deLacy reste l’une des corporations les plus anciennes, renommées et respectées de l’espace colonisé. Sa cote de popularité auprès de l’opinion publique est telle que l’Alliance, l’Empire et la Fédération ont tous trois essayé d’obtenir un contrat d’exclusivité pour ses vaisseaux, mais sans succès pour l’instant.

Gutamaya
“L’élégance, naturellement”

Le fabricant de vaisseaux Gutamaya jouit d’un accord commercial avec l’Empire en tant que fournisseur officiel, à la manière de Core Dynamics avec la Fédération. Il s’agit cependant d’une entreprise bien plus récente, et l’Empire lui-même en est en réalité le fondateur. Les vaisseaux de Gutamaya sont souvent considérés comme une incarnation de l’opulence impériale et se distinguent par leurs formes lisses et leur silhouette reconnaissables entre mille. “Imperial Gutamaya” vit officiellement le jour sous l’impulsion de l’empereur Gaylen Trasken Duval en 3000, dans le cadre d’une célébration officielle du millénaire visant à promouvoir une reconnaissance de l’art, de la création et de l’architecture au sein de l’Empire. L’entreprise avait pour objectif de produire une flotte de vaisseaux alliant fonctionnalité sans faille et esthétique unique, sous la supervision du constructeur naval Jordan-Blakestow et de la sculptrice Amita Gutamaya. Ces vaisseaux devaient être offerts pour un temps limité à certains membres de la noblesse impériale qui avaient obtenu les faveurs de l’empereur. L’implication évidente d’Amita Gutamaya, dont les œuvres aux contours gracieux et épurés étaient connues et appréciées de tous, fit monter la demande en flèche. Les vaisseaux devinrent des symboles de statut social si convoités que leurs propriétaires se trouvaient contraints de louer les services de mercenaires pour les escorter et éviter les détournements. Face à cette situation, l’empereur ordonna qu’Imperial Gutamaya devienne active à plein temps et qu’une partie de sa production soit rendue disponible à la vente. Depuis sa fondation, Gutamaya continue d’employer les meilleurs artisans de l’Empire pour que ses vaisseaux restent à l’image des idéaux esthétiques d’Amita Gutamaya. La sculptrice décéda en 3006 dans des circonstances mystérieuses et fut enterrée dans la crypte familiale des Gutamaya sur Achenar 6b.

Lakon Spaceways
“D’infatigables vaisseaux pour le travailleur infatigable”

Lakon Spaceways est un fabricant de vaisseaux spécialisé dans les appareils robustes, destinés au transport de marchandises et à l’exploration spatiale. L’entreprise est en activité depuis bien plus longtemps que la plupart de ses concurrents, et la mise en service de son premier vaisseau de transport remonte au 26e siècle. Les premiers modèles développés par Lakon Spaceways se caractérisaient par la possibilité d’apporter des réparations même en dehors d’un spatioport, une qualité qu’ils retiennent encore à ce jour en dépit de l’omniprésence des services de réparation à bas coût. En 3303, Lakon conclut un partenariat avec l’Alliance visant à produire une flotte de vaisseaux militaires pour parer à la menace grandissante des Thargoids, partenariat duquel sont nés en l’espace d’un an le Type-10 Defender, l’Alliance Chieftain, l’Alliance Crusader et l’Alliance Challenger. Les vaisseaux de Lakon sont avant tout conçu dans une optique de fonctionnalité, ce qui se fait souvent au détriment des considérations esthétiques et leur vaut autant de louanges des uns que de railleries des autres. Les plus fervents défenseurs des appareils à l’apparence grossière de Lakon disent généralement préférer les vaisseaux qui ressemblent à des vaisseaux plutôt qu’à de l’art abstrait.

Mastopolos Mining
“Trois cents ans de fiabilité”

En 2951, un sénateur du nom de Giya Mastopolos aida un groupe de l’Empire à reprendre possession de droits miniers cruciaux détenus par un partenariat soutenu par la Fédération. Mastopolos prit plus tard la direction des opérations minières et, avec l’aide de sa fille Niya, contribua à la rapide expansion de l’entreprise. Les membres de la famille Mastopolos étaient déjà tenus en haute estime pour leur soutien aux arts et leur loyauté à l’Empire, et nombre de citoyens impériaux étaient plus que satisfaits de faire affaire avec eux. C’est donc sans surprise que Mastopolos a principalement prospéré au sein de l’Empire, même si l’entreprise possède également des installations minières dans plusieurs systèmes indépendants. À l’instar de l’Empire, Mastopolos Mining est contrôlée par la même dynastie depuis des siècles. Plutôt que d’adopter une stratégie marketing conventionnelle, la corporation met en avant les individus qui la dirigent, capitalisant sur la grande estime que portent les citoyens impériaux aux personnalités raffinées dotées d’un statut social prestigieux.

Les membres de la famille Mastopolos sont formés dès leur plus jeune âge à jouer les aristocrates charismatiques, faisant office d’ambassadeurs aussi bien pour les entreprises que pour l’Empire lui-même. Ils cherchent tout particulièrement à prouver la viabilité et l’humanité du mode de vie impérial, en opposition directe avec l’idéologie de la Fédération. Gabriella Mastopolos, la dirigeante actuelle de Mastopolos Mining, a fait des efforts considérables pour garantir un traitement humain et équitable aux esclaves qui travaillent pour la corporation. Son programme de réinsertion des prisonniers permettant aux détenus de Jennings Hollow d’entrer au service de la corporation en tant qu’esclaves, avec une prime à la performance plus que juteuse à la clé, lui a également valu nombre de louanges. Malgré ces actions à la popularité indéniable, les citoyens de la Fédération et de l’Alliance n’ont pas manqué de faire remarquer qu’un esclave reste un esclave, quelle que soit la générosité de son maître.

Saud Kruger
“L’excellence, pour les meilleurs”

Saud Kruger est principalement connu par les pilotes indépendants pour ses somptueux vaisseaux de ligne tels que le Beluga, le Dolphin et l’Orca, bien que l’entreprise dispose également d’une filiale touristique du nom d’Astrogator. Saud Kruger commença en tant que fabricant de yachts dans Bedaho, sa croissance se trouvant fortement restreinte par les limites du marché de son secteur d’activité. L’acquisition en 3270 de la compagnie de voyage Astrogator, alors en difficultés financières, par son directeur Stanislav Kruger, donna à Saud Kruger une occasion de s’implanter dans de nombreux systèmes stellaires. L’entreprise remit la flotte d’Astrogator à neuf et apporta quelques ajustements à ses itinéraires touristiques peu engageants pour leur donner une touche plus aventureuse, ce qui attira bon nombre d’amateurs de sensations fortes. Le cuir-or produit exclusivement sur la planète Home du système Bedaho, sert à décorer les intérieurs des vaisseaux de Saud Kruger depuis des années et constitue l’une des particularités esthétiques de l’entreprise. Saud Kruger détient un droit de production exclusif sur le cuir-or et y intègre des nanoparticules cryptées qui servent à prouver son authenticité. La corporation est également lancée dans la course à l’exploration spatiale et à la cartographie interstellaire, n’hésitant pas à mettre l’accent sur les charmes et les dangers de la découverte. Les détracteurs de l’entreprise reprochent à celle-ci de mettre en danger un secteur aussi crucial que l‘exploration spatiale, craignant que cette approche nonchalante n’en fasse un terrain de jeu pour les nantis désœuvrés et ne fasse fuir les indépendants, dont le travail est essentiel au bon fonctionnement de la discipline.

Sirius Corporation
“La galaxie à pleine puissance”

Parmi toutes les mégacorporations dominant l’espace civilisé, aucune n’arrive à la cheville de la Sirius Corporation en termes de capitaux et d’influence. La Sirius Corporation a commencé son ascension en 2339, lorsqu’elle lança la toute première mission de colonisation corporatiste dans le système Sirius. Elle devint bientôt le premier fournisseur de l’Empire et de la Fédération en carburant et en technologies, et s’établit comme un acteur indispensable dans l’économie des deux factions. Son parti-pris de rester neutre vis-à-vis des ses deux principaux clients en cas de conflit contribua d’autant plus à renforcer sa position. La corporation garda la production de carburant et de réacteurs au cœur de ses activités tout au long de son expansion, bien qu’une exploration judicieuse d’autres marchés favorisera également sa croissance. Mais cette ascension ne fut pas sans son lot d’obstacles à surmonter. En 3251, Sirius Corporation lança sur le marché un nouveau vaisseau de transport de passager à la technologies révolutionnaire, l’Antares, qui devait être le pionnier d’une nouvelle ère du voyage interplanétaire. Malheureusement pour la corporation, le vaisseau disparut au cours de son vol d’inauguration. On supposa longtemps que le vaisseau avait été détruit suite à un dysfonctionnement dans ses systèmes de pressurisation, mais cette hypothèse ne put être confirmée qu’en 3302, lorsque des restes de l’épave furent enfin récupérés. Cet ”incident Antares” resta longtemps dans les mémoires, et les projets de la Sirius Corporation de lancer une série de transports de ligne ultrarapides en pâtirent fortement. La chance tourna cependant en 3278, lorsque la corporation mit au point un système de réacteurs beaucoup plus rapides. Le succès de ce système innovant compensa largement les pertes financières engendrées par l’incident Antares et propulsa l’organisation vers une nouvelle ère de prospérité.

La corporation compte désormais de multiples filiales, dont nombre d’entre elles sont des gigantesques conglomérats à part entière, mais se consacre principalement à la production de réacteurs à fusion, d’hyperpropulseurs et de carburant. Bien que la filiale en charge de cette production opère sous le nom de la Sirius Corporation, il s’agit techniquement de Sirius Hyperdrives, la société mère agissant simplement en tant que société actionnaire. Les filiales les plus importantes de la corporation sont probablement celles consacrées aux opérations minières, à la production industrielle et à la production d’énergie. Sirius Mining et Sirius Industrial opèrent en étroite collaboration pour produire de l’équipement minier spécialisé, aussi bien pour les opérations planétaires que pour l’exploitation d’astéroïdes, ainsi que des fonderies et des raffineries industrielles, des robots atmosphériques et des réacteurs à traitement de déchets. Sirius Power fabrique toutes sortes de générateurs, des appareils de 10 kilowatts aux centrales de 100 gigawatts pour les installations industrielles et les robots atmosphériques. La Sirius Corporation dispose d’une importante flotte privée pour défendre ses intérêts. La plupart de ces vaisseaux sont fournis par Gutamaya, bien qu’un certain nombre d’entre eux soient directement produits sous licence dans les propres chantiers navals de Sirius. La corporation contrôle des dizaines de systèmes stellaires et a même créé une filiale gouvernementale, Sirius Gov, pour gérer ses systèmes. De manière générale, on constate que grâce à la présence de la Sirius Corporation, la population de ces systèmes jouit d’une meilleure qualité de vie et d’une sécurité accrue par rapport aux habitants de nombreux systèmes indépendants.

Rockforth Corporation
“La vie au naturel”

La Rockforth Corporation fut fondée en 2673 par la famille Rockforth, sur la planète Thompson, réputée pour sa beauté et ses similitudes avec la Terre. Tout d’abord colonie de la Fédération, la planète finit par devenir indépendante en 2748 sous l’impulsion des Rockforth qui en contrôlaient la majeure partie. À ses débuts, la Rockforth Corporation généra d’importants bénéfices grâce à ses “produits alimentaires authentiques cultivés en terre” et au tourisme, ce dernier ayant profité de la baisse significative des coûts des voyages spatiaux. Il s’agit à présent d’une puissante corporation interstellaire spécialisée dans l’agriculture et le tourisme, et qui possède des centaines de fermes sur tout le territoire de la Fédération. On lui attribue également une forte tendance à faire acquisition de ses sociétés clientes, une tendance qui commença avec le rachat amical du cabinet d’avocat Smith & Smith, désormais connu sous le nom Rockforth Law. En 2730, Rockforth Law fonda la Rockforth Legal Academy sur la planète Thompson, considérée aujourd’hui comme la meilleure école de droit fédéral dans toute la galaxie. Rockforth a toujours été prompte à vouloir collaborer avec les pouvoirs en place, qu’il s’agisse de la Fédération ou de gouvernements indépendants, et a déjà mis à plusieurs reprises sa flotte privée à disposition pour aider à repousser des menaces extérieures. L’entreprise a également financé de multiples campagnes électorales, y compris celle du président de la Fédération Isaac Gellan en 2862, tristement célèbre pour de multiples affaires de corruption. La réputation de la Rockforth n’a cependant pas souffert de son association avec Gellan, et la corporation en a au contraire bénéficié en révélant elle-même les agissements du président.

Universal Cartographics
“Trouver ce qui doit l’être”

Avant l’apparition du réacteur FSD, il n’existait aucune agence pour centraliser l’effort d’exploration spatiale. La plupart des gouvernements et des corporations avaient leur propre programme d’exploration, mais ceux-ci étaient motivés par le besoin de trouver de nouveaux territoires exploitables plus que par un vrai désir de découverte. Il arrivait bien sûr à ces programmes d’engager des explorateurs indépendants, mais ceux-ci étaient considérés comme trop imprévisibles et pas assez fiables. La réputation de ces indépendants ne s’améliora pas avec la série de scandales aux données contrefaites qu’ils avaient fait passer pour des analyses de systèmes encore inexplorés. Les systèmes en question se trouvant aux confins les plus reculés de l’espace connu, les victimes de ces arnaques ne se rendirent évidemment compte de la supercherie que bien trop tard. Tout comme les navigateurs parcourant anciennement les océans de la Terre gardaient jalousement les secrets consignés dans leurs carnets de route, les propriétaires de données de navigation authentiques étaient peu enclins à les partager. Le vol de telles données devint un problème majeur à la fin des années 2900, lorsque les tensions entre l’Empire et la Fédération étaient à leur paroxysme. Certains représentants des deux camps essayèrent bien d’instaurer une banque de données commune afin d’apaiser les esprits, mais le manque de confiance mutuelle entre les deux factions empêcha cette initiative de dépasser le stade du projet.

Le développement du réacteur FSD améliora largement les capacités de saut de tous les vaisseaux, même les plus modestes, permettant ainsi à un nombre d’individus de se lancer dans l’exploration spatiale sans nécessiter le financement d’une entité commerciale ou d’un gouvernement. La situation était désormais favorable à la création d’une corporation à même de gérer, coordonner et distribuer ce nouvel afflux de données de navigation. Née de la fusion d’Unified Infotech et Devaine-Bright Interstellar, Universal Cartographics arriva à point nommé. L’ancienne présidente d’Unified Infotech Cynthia Sideris choisit le nom Universal Cartographics pour refléter la politique de l’entreprise, à savoir un accès non restreint aux données pour quiconque était prêt à y mettre le prix. Des protocoles de sécurité sophistiqués développés par Unified permettaient de vérifier l’authenticité de toutes les données envoyées et vendues à Universal Cartographics. En alliant fiabilité et accessibilité, Universal Cartographics connut un succès immédiat. La philosophie de l’entreprise, à savoir la poursuite de la découverte pour ce qu’elle est et la volonté de développer les connaissances humaines, correspondait à celle de bon nombre d’explorateurs indépendants de l’époque, et continue de trouver écho dans le cœur des explorateurs actuels.

Wreaken
“Une industrie faite pour durer”

Wreaken Construction and Mining compte parmi les plus anciennes corporations interstellaires. Fondée il y a plus d’un millénaire, elle porte toujours le nom de son fondateur Tobias Wreaken, mineur de charbon sur la Terre, à une époque où tout n‘était pas encore automatisé. Les nombreuses histoires d’accidents et de terribles tragédies minières qu’il entendit poussèrent Wreaken à faire de la sécurité et de la prudence les priorités de son affaire d’exploitation minière. La devise de l’entreprise à cette époque : “On peut récupérer des pertes financières et on peut réparer le matériel. Mais une vie, on ne peut la remplacer.” Des générations plus tard, cette priorité donnée à la conscience professionnelle plutôt qu’au profit restait l’un des piliers de la société, faisant de Wreaken la candidate parfaite pour exploiter les nouvelles opportunités offertes aux autres corporations par l’avènement de l’exploration spatiale. Les opérations minière sur des astéroïdes, des satellites sans atmosphère et des planètes hostiles, qui étaient bien plus risquées que l’extraction de charbon et l’expertise de Wreaken dans ce domaine apaisa l’esprit de bien des corporations.

L’entreprise se trouva par conséquent présente dans presque toutes les missions de colonisation lancée par la Fédération dans les premiers temps. Wreaken se spécialise de nos jours dans l’extraction du tantale, un élément indispensable à la fabrication des réacteurs FSD. L’entreprise est fermement établie au sein de l’Alliance et de la Fédération ainsi que dans les territoires indépendants, sa concurrente directe Mastopolos Mining occupant elle l’espace impérial. Les relations entre les deux corporations sont relativement tendues depuis que Wreaken a accusé ouvertement Mastopolos de placer artificiellement, sur des planètes choisies soigneusement, de petits gisements prometteurs de tantale, dans l’espoir que le soin extrême apporté par Weaken à ses analyses de terrain mobilise bon nombre de ses précieuses ressources. Mastopolos n’a jamais officiellement répondu à ces accusations, mais lors d’un dîner officiel en 3303, Elena Mastopolos a néanmoins fait référence au fameux “supplice de Tantale”, ajoutant non sans acerbité qu’il n’y avait rien d’illégal à laisser des présents sur le seuil de son voisin.

WorldCraft
“Le summum du divertissement”

Basée dans le système Epsilon Eridani, WorldCraft est depuis plus de 300 ans la corporation touristique préférée de la Fédération. L’entreprise entama ses activités sous le nom de Cisco Corporation, avec des stations touristiques implantées un peu partout dans l’espace humain. Au début du 33e siècle, elle augmenta drastiquement la portée de ses activités en s’attelant à la terraformation de planètes entières pour créer de véritables monde-stations. Pour cela, elle employa les services de Free World Ventures et de ses robots atmosphériques “Worldcraft”. Désireuses d’éliminer toute concurrence, Cisco lança une OPA réussie contre Free World Ventures en 3260, doublant du jour au lendemain la taille de l’entreprise. L’image de Cisco à cette époque étant celle d’une entreprise touristique très bon marché, celle-ci ne parvint pas à pénétrer le marché impérial. Cisco décida donc de capitaliser sur son acquisition de Free World Ventures et le succès de la marque “Worldcraft” pour se rebaptiser WorldCraft (avec un C majuscule) et tenter à nouveau de séduire la clientèle de l’Empire. WorldCraft propose aujourd’hui un vaste panel d’expériences inédites, que ce soit des excursions dans des environnements naturels préservés intacts, où l’on peut confortablement admirer en famille des paysages inoubliables en louant un vaisseau de luxe, ou des reconstitutions incroyablement fidèles de certaines périodes historiques de la Terre, telles que le parc à thème Victorian London ou l’expérience médiévale immersive Lames et Cervoise.

Meute Archangel et Billy
Le lieu du crime:


Le journal de Billy:


Resultat:


Nos sous-marins sont bien rentrés avec quelques dégâts causé par le DD
Pas de yoyo.
Partie pas facile, une course contre la montre et des sueurs froides

Canon électrique Marteleur impérial


comme les rail gun mais en rafale...

Arissa. LAVIGNY-DUVAL

Fonction minage et arme

Cytobrouilleur (Cytoscrambler)



Laser extrêmement efficace contre les boucliers mais inopérant contre la coque de la cible
Fixe taille 1 seulement

Meute Billy Archangel

Mon journal de bord:



Il manque le Musashi de Archangel qui est bien coulé mais pas noté

Quelques "yoyo" sans gravités (des fumées et flammes sur l'eau) mais les bateaux pas de yoyo

un DD qui n'a pas bronché avec mes 2 torpilles et une troisième de Archangel la fait pencher sur le coté mais il a filé a 27 nœuds !

Pas de problème ni rayures sur nos sous marins

Interception a gogo il est difficile d'arriver sur place


C'est gros mais il faut que je me cache dessus



choisir un petit coin tranquille



ici c'est pas mal



Bon du coup j'ai pris le large car l'explosion va être impressionnante



Heureusement car ceux qui sont trop proche ont été poussé à 150 km




le souffle me fait reculer ...



Et voilà c'est fini

MBOONI:


Direction Prospects deep





Dans la station c'est dans contacts



que vous trouverez le courtier en technologie



Faites votre choix

Ce qu'il vous demande pour avoir accès a ses services :


Son adresse:Système Los Station:Kraken's Retreat
Conditions d'invitation:

Chez Liz Ryder être au grade 3-4
Avoir minimum le niveau revendeur en commerce
Offrir 25 nacelles occupées

Ces compétences:
Générateurs (niveau 5)
Répartiteur de puissance (niveau 5)
Système de survie (niveau 5)
Capteurs (niveau 5)
Canon électrique (rail gun) (niveau 5)
Accélérateur à plasma (niveau 5)
Détecteur de surface détaillé (niveau 4)
Détecteur de sillage FSD (niveau 5)
Détecteur avis de recherche (niveau 4)
Détecteur de cargaison (niveau 4)

Après les 2mn et relancé la partie ...

Meute Super Fred et petit Billy

Mon journal

Une partie difficile avec des DDs haut niveau
Les torpilles ont presque toutes été tirées lorsque les Croiseurs nous sont passés dans notre dos, et a fond les gamelles, mais les 4 torpilles sont plus rapide qu'eux.

Protect Deliveries to YZ Ceti
Position: Clement Orbital | YZ Ceti
Objectif: reçus de prime

Des livraisons sont demandées de toute urgence pour commencer à produire de nouvelles armes capables d'infliger de sérieux dégâts aux Titans thargoids.

L'initiative est supervisée par YZ Ceti Blue Galactic & Co. Afin de protéger les livraisons, la faction dédommagera généreusement les pilotes présentant des reçus de prime obtenus en abattant des vaisseaux recherchés.

Le professeur Ishmael Palin est à la tête du projet qui est fondé sur des théories développées par Ram Tah. Aegis a fait parvenir un communiqué officiel à tous les fils d'actualité :
" La production de masse des torpilles à nanites des Guardians et de leurs modules de lancement a commencé. Mais pour constituer les stocks nécessaires à l'attaque simultanée des huit vaisseaux-mères thargoids, nous avons besoin de davantage de matériaux. "
Comme incitation supplémentaire, des modules seront offerts en récompense aux pilotes éligibles. Ces récompenses sont cumulatives.

Top 75 % :
Renforcement de coque 4D lourd amélioré de niveau 5

Top 50 % :
Renforcement de coque 5D lourd amélioré de niveau 5
Éjecteur de dissipateur thermique de haute capacité de Ram Tah
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Appeal for Anti-Titan Weapon Materials
Position: Clement Orbital | YZ Ceti
Objectif: livrer Isolant néotextile, Système de réseau d'alimentation et Distributeur d'Ions

Des livraisons sont demandées de toute urgence pour commencer à produire de nouvelles armes capables d'infliger de sérieux dégâts aux Titans thargoids.

Aegis demande à ce que des chargements d'isolant en néotextile, de distributeurs d'ions et de systèmes de réseau d'alimentation soient livrés à bord de Clement Orbital, dans le système d'YZ Ceti.

Le professeur Ishmael Palin est à la tête du projet qui est fondé sur des théories développées par Ram Tah. Aegis a fait parvenir un communiqué officiel à tous les fils d'actualité :
" Nous pouvons désormais révéler les résultats de l'expérience de Ram Tah avec les reliques des Guardians. Ces objets antiques étaient des supercalculateurs cristallins qui transmettaient des données sur les réseaux d'information des Guardians. Selon lui, la transformation en ce que l'humanité appelle des "reliques non classées" observée sur les sites de surface thargoids serait causée par un mécanisme de défense interne, un dispositif qui pourrait bien avoir des applications militaires directes.
Ram Tah a découvert qu'après avoir été exposées à certaines fréquences électromagnétiques, les reliques des Guardians s'ouvraient et déployaient des amas de nanites microscopiques. Ces nanites réagissent de manière agressive à la biotechnologie des Thargoids en altérant sa structure moléculaire. Plus remarquable encore, les tests ont démontré que ces nanites ne sont pas affectées par le champ anti-Guardian généré dans les maelstroms.
Le professeur Palin, avec l'aide des spécialistes d'Aegis, a employé des techniques hybrides exploitant cette technologie des Guardians pour construire une ogive non explosive, mais capable de déployer un chargement de nanites. Ces torpilles sont recouvertes de composants organiques provenant de sites de flèche thargoids, afin d'empêcher les champs anti-Guardians d'affecter leur vol. Nos stratèges pensent que ces armes peuvent affecter les systèmes de régulation de chaleur des Titans et leur infliger des dégâts internes, jusqu'à provoquer leur destruction complète.
La production de masse des torpilles à nanites des Guardians et de leurs modules de lancement a commencé. Mais pour constituer les stocks nécessaires à l'attaque simultanée des huit vaisseaux-mères thargoids, nous avons besoin de davantage de matériaux. "

Comme incitation supplémentaire, des modules seront offerts en récompense aux pilotes éligibles. Ces récompenses sont cumulatives.

Top 75 % :
Renforcement de coque 4D lourd amélioré de niveau 5


Top 50 % :
Renforcement de coque 5D lourd amélioré de niveau 5

Éjecteur de dissipateur thermique de haute capacité de Ram Tah


La campagne débutera le 15 février et se poursuivra pendant 11 jours. À noter cependant qu'elle prendra fin dès que l'objectif fixé aura été atteint, et ce, même si cela se produit avant la date butoir.