partie du 10 Février 2010., L'éperonnage, tu ne feras point une deuxième |
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partie du 10 Février 2010., L'éperonnage, tu ne feras point une deuxième |
jeudi 11 février 2010 Ã 01:36
Message
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Légère brise Groupe : Membres Messages : 81 Inscrit : 21/07/2007 Lieu : Charleval ( Bouches du Rhône [13] ) Membre no 7601 |
Nouvel engagement au large des côtes occidentales de l'Afrique.
Le 19 Octobre 1939, un convoi, d'une dizaine de marchands de toutes nationalités, prend route à 9h00 précise en direction de l'Europe menacée. Un quart d'heure plus tard, le destroyer français en provenance de Dakar (luptilu), repère un contact sous-marin (U1:Manu), qu'il réussit à éperonner. Mais les bandits ont frappé. Même les navires neutres sont pris à partie. Le destroyer anglais venant de freetown (ma pomme), finit par repérer et grenadé un pirate (U3:Cyclo) qui s'était faufilé entre deux navires stoppés par ses "soins". Il faudra cependant tout les efforts de l'escorte, non seulement pour le traquer et le grenader... mais encore pour en venir à bout (portant). Vous noterez ici la tactique dite de "la prise en sandwich". Une tranche de Soum entre deux tranches de DD. Tout ceci se termine par un joli éperonnage où une nouvelle fois je finis quasiment détruit. Ma demande du renforcement des coques n'étant toujours pas pris en compte... (confer : http://www.mille-sabords.com/forum/index.p...howtopic=39628) On va créer une association avec jurgen pour le renforcement de nos habitacles. http://www.mille-sabords.com/forum/index.p...st&p=270388 Résultat : Manu fut déco en cours de partie. J'ignore ce qu'il est advenu de l'U4 (Rocco) par la suite. P.S : Notez le pavillon du DD de Luptilu... Dakar, déjà FFL en 39 !!!! Pour la vérité historique : http://dakar.1940.free.fr A vendredi tout le monde. Ce message a été modifié par gunter - jeudi 11 février 2010 à 01:46. -------------------- "Le code des pirates :
I. Chaque pirate pourra donner sa voix dans les affaires d'importance et aura un pouvoir de se servir quand il voudra des provisions et des liqueurs fortes nouvellement prises, à moins que la disette n'oblige le public d'en disposer autrement, la décision étant prise par vote." « Enfin, Monsieur, avouez que vous, Français, vous battiez pour l'argent tandis que nous, Anglais, nous battions pour l'honneur… » Surcouf lui répondit d'un ton calme : « Certes, Monsieur, mais chacun se bat pour acquérir ce qu'il n'a pas. » |
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