Destroyer Command, Par le site Manoire3portes.net. Mise en ligne par LeRedoutable. Options

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Destroyer Command - Ultimation Inc / SSI - Produit par Ubi Soft - 2001 Par Basileus Un article du site http://www.manoir3portes.net Bateaux de fer en flammes sur l'océan en feu Dans la peau d'un stratège, canonnier, grenadier et d'un berger pour convoi maritime. Destroyer Command a été testé pour commencer avec le dernier patch officiel, version 1.1 daté de 2002 qui rajoute diverses améliorations, entre autre, la possibilité de jouer mieux en réseau, meilleure gestion du sonar... puis avec l'add-on "projekt Messerwetzer" qui apporte encore plus de nouveautés intéressantes et la stabilité pour les parties multiplayer. Peu de mods ont été fabriqués pour Destroyer Command, l'essentiel des passionnés s'est concentré sur silent hunter 2, le premier des deux jeux soft à être sorti et qui probablement fascine davantage. (Les sous-marins quoi !) Destroyer command vous propose de devenir capitaine de différentes classes de destroyers américains pendant la seconde guerre mondiale et chef de groupe d'escorteurs sur deux théatres d'opérations différents: Dans l'atlantique et dans le pacifique. Dans ce test, nous avons choisi la campagne de l'atlantique afin de pouvoir participer aux évènements qui se déroulèrent sur cet océan à l'époque et que l'on appelle aujourd'hui "La bataille de l'atlantique"

Première défaite. Un destroyer de notre groupe totalement détruit par un bombardier allemand dans le golfe de gascogne. (Ca commence bien) Attention en vous rapprochant des côtes ennemies, les avions essaieront de vous couler sans relâche. Dans la campagne du pacifique, vous aurez même affaire à des kamikazes (japonais) Les avions sont davantage encore que dans silent hunter 2 une menace. Dans DC vous ne pouvez pas plonger. Votre équipage doit utiliser les canons de DCA. Le mieux et de passer en manuel pendant cette phase critique et il faut s'entrainer... et réagir rapidement.

Premièresremarques: - L'interface est "spartiate", autant que celle de silent-hunter 2. Ici, pas de fioritures, on n'aura pas le loisir de se faire une idée du jeu à partir d'un design spécifiquement conçu hormis l'image pendant le chargement pour nous mettre dans l'ambiance. "L''artwork" autour du jeu est ici presque totalement absent, (Une simple interface avec texture métallique) contrairement à ce que l'on peut voir dans B17 the mighty 8. (article dispo dans la liste des meilleurs jeux du manoir) Tout est réduit au strict minimum. La musique d'introduction, plutôt agréable est loin d'être vitale au déroulement de nos sorties en mer. Donc, ne cherchez pas les bonus, il n'y en a... pas. On est dans et devant DC pour des batailles navales, pour commander un destroyer, obéir aux ordres de missions, rien de plus, et c'est déjà pas mal... Ah si ! Il ya quand même une bonne surprise: la visite d'un destroyer d'époque, l'USS Kidd en version interactive. Ô, surprise, le pont est assez fidèlement reproduit. - Nous aurions aimé pouvoir faire une campagne dans la Royal Navy britannique qui fût la première concernée (1940) par le type d'engagement naval reproduit dans Destroyer command. En fait, en entamant une "campagne atlantique" au large des côtes américaines, on se retrouve assez vite assigné autour de l'angleterre (A partir de la quatrième mission) Un jeu bien dosé en "mode seul joueur" mais également conçu pour couler du sous-marin en réseau... Il faut préciser que Destroyer Command est capable d'affronter Silent hunter 2 en réseau même s'il est parfaitement jouable en "single player". Donc, des affrontements "destroyers contre sous-marins"... Esperons que le ping ne soit pas supérieur à 800 ms pour ceux qui connaissent même si DC et SH2 ne sont pas Quake2 ou Counter Strike. Pour une meilleure version du jeu online, vous devez récupérer le patch "projekt Messerwetzer 1.03". Ce patch rajoute en plus quelques petits détails qui enrichissent la version 1.1 de DC. - Destroyer Command prend bien sur une nouvelle dimension en multiplayer. Si vous voulez connaitre les joies d'une vraie bataille navale avec des vrais capitaines... euh des vrais humains, toutes les explications, dialogues récits de combats online, tactiques à utiliser, diatribes verbales enflammées sont sur le forum de mille-sabords.com.

Grenadages lors de notre première mission dans la zone de la dernière localisation d'un U-boot, au large de la côte Est américaine... La profondeur étant réduite, les charges sont programmées pour exploser à moins de 100 pieds (un peu plus de 30 mètres) Attention aux effets de l'explosion, vous pouvez endommager votre destroyer si vous êtes trop prêts de la zone de largage des charges.

Graphiquement, DC, qu'est ce que ça vaut ? DC reprend les graphismes de Silent hunter II, le moteur 3D n'est (bien sur) plus au gout du jour (2001, date de sortie de DC) mais l'ensemble est suffisamment lisible, clair et agréable pour donner envie d'entrer plus en détails dans l'ambiance du jeu et de la période qu'il traite, la marine de guerre engagée dans le feu de la seconde guerre mondiale. Et puis, des jeux qui permettent de commander un destroyer, et des bateaux en général, il n'y en a pas tant que ça. En fait, l'ensemble reste beau, harmonieux disons. Même si les vagues sont mêmes reproduites et ont un effet sur votre destroyer, (Mais pas assez, malheusement pour avoir le mal de mer...) l'ensemble de l'océan ne bouge pas à part quelques reflets (merci directx) Arrh, Aces of the Deep et son océan "vivant" c'était le bon temps. Vous pouvez également comparer l'océan de DC à celui représenté dans virtual sailor, ici. Des petits bateaux à faire naviguer sur l'écran... Ci dessus, voici le genre de convoi que vous avez à protéger au cours de la campagne de l'atlantique. 35 cargos (sans compter l'escorte) et pétroliers réunis et protégés par des destroyers et des corvettes. Ici, nous avons quatre destroyers sous nos ordres que nous pouvons envoyer à n'importe quel endroit autour du convoi et avec des ordres précis... Les Destroyers presque tous regroupés dans la même zone laissent une énorme brêche sur la gauche du convoi. C'est mal ! Il faut vite donner d'autres ordres. Vous pouvez "programmer" vos escorteurs avec des règles d'engagement. Ex: si détection d'unité ennemi, attaque immédiate.

Résultat d'un engagement avec le Prinz Eugen, un croiseur lourd allemand, un DD de notre groupe détruit et notre propre navire en feu essayant de s'éloigner à toute berzingue hors de portée des canons du mastodonte des mers. Envoyer deux destroyers essayer d'endommager le Prinz Eugen, jumeau de l'Admiral Hipper était une mission suicide. D'ailleurs l'ordre de mission vous le laisse entendre. ("Vous êtes les seules forces que nous possédons dans la zone, sacrifiez vous . Vous devez endommager le Prinz Eugen à 50 % et survivre..." (La mission est un échec) D'après la FAQ de DC, lors d'engagements de surface, on peut même se fritter avec la marine de Vichy...

Ecran d'avaries du DD MacCook à trois cheminées "Clemson class" de 1918. Cette vieille marmite file tout de même ses 35 noeuds en vitesse maximum mais n'a pas de radar.	La passerelle d'observation d'un destroyer "moderne" de 1941. La vue tourne à 360 ° comme dans SH2. Vous pouvez voir le tangage et le roulis du navire, surtout par forte mer.

De multiples options: des ordres directs à partir de la carte Vous pouvez mener une bataille navale (presque) entièrement sur la carte Les deux premières missions de campagne que l'on nous propose d'effectuer sont quasi routinières mais elles permettent de prendre en main le jeu et de se familiariser avec les différents postes du navire. Les premières missions commencent en janvier 1941. Les états-unis sont entrés en guerre un peu avant Malheureusement, les campagnes ne sont pas dynamiques, on retrouve exactement le même problème que dans Silent Hunter 2 mais les missions sont suffisamment intéressantes et bien conçues pour accrocher. Au fur et à mesures des sorties effectuées, on vous confie davantage de responsabilités et vous pouvez finir par commander une division entière de destroyers... (hum, nous n'en avons commandé que 4 maximum.) Il faudra attendre Silent hunter III (sortie début 2005) pour avoir enfin une campagne dynamique dans et une gestion de l'équipage à la B17-Flying Fortress, et Mighty 8. (Les pionniers du genre)

La carte (touche F2) est, comme dans Silent hunter 2 le poste clef de Destroyer Command. De la carte vous pouvez donner toutes sortes d'ordres à votre équipage ou à votre groupe de destroyers, changer de cap, attaquer les cibles repérées au radar et à l'asdic, rejoindre la formation. Les destroyers en formation harmoniseront leurs vitesses respectives sur le navire de commandement. Ci-contre, un engagement avec des E-Boote (patrouilleurs allemands) détruits très rapidement. Vous pouvez ordonner à votre équipier d'attaquer à la torpille...

Les combats navals sont passionnants à simuler mais les pertes en vies humaines eux ne sont pas reproduites. On n'est pas dans un FPS. Pas de sang dans DC, juste de la fumée et du feu. Pas la moindre trace de vie hormis les messages de l'équipage vous annonçant un évènement important, dégats, changement de vitesse, détection de navire, dernier point de navigation atteint et le "Sir the boilers are online" en début de mission etc... Amusant, lorsque vous tirez sur un de vos destroyers amis, vous recevez un message affolé du radio de votre cible d'opportunité.

Trois patrouilleurs allemands facilement (trop ?) détruits lors de la quatrième mission de campagne pendant un engagement de nuit dans la manche. (La mission principale, une escorte de convoi de Plymouth à Douvres) Il s'agit en fait de E-boote, vedettes rapides capables de tirer des torpilles sur leurs cibles. Ces vedettes rapides ne font pas le poids face à notre groupe composé de deux destroyers modernes classe de 1942 et d'une corvette britannique.

Les moments d'actions, très intenses arrivent après de longues périodes d'inactivité, touches + et - pour accélérer le temps et permettent soit de prendre le controle de la "direction de tir", soit de laisser l'équipage virtuel s'en occuper et choisir les manoeuvres des destroyers. Mais même en "automatique", des "human decision" sont requises. Par exemple, il n'est pas vraiment très prudent d'attaquer de front et seul un croiseur lourd comme le Prinz Eugen. En fait il se faut absolument se mettre au poste de tir, locker la cible et tirer avec la barre d'espace. Rien ne vaut un cerveau humain pendant une telle attaque Les destroyers sont faiblement blindés. Dans la réalité, un seule salve de canons projetant des obus lourds de 380 peut littéralement désintégrer un navire... C'est ce qui est arrivé pendant l'engagement de l'Admiral Hipper et du Bismark contre une escadre de navires britanniques. Le croiseur Hood a été annihilé en quelques secondes... (Donc un destroyer sans blindage, vous pensez...)

Un bel écran de la salle des machines. Les jauges sont bien sur animées. Ici vous voyez votre niveau de carburant, la pression d'admission du carburant, l'angle d'inclinaison du bateau qui devient dangereux en cas de dommages et de voies d'eau multiples, surveillance de l'état des machines etc... On peut également mettre les chaudières en stand-bye. Mais pourquoi faire ?

Les écrans des différents postes sont beaux avec leurs jauges animées. Peut-être plus réussis et surement plus nombreux que ceux de Silent hunter 2. Normal, il y a plus de place sur un destroyer que sur un sous-marin. Comme dans Silent Hunter 2, tout est limité au maximum. Mais vous pouvez tout de même ci-dessus dans l'écran des machines activer ou désactiver les chaudières. Ah oui au fait, mais pourquoi donc ?une panne ? Pour aller vers le site de plongée en catastrophe d'un U-boote, on a besoin de bien besoin au moins de filer 35 noeuds...

La fin d'un U-boote. L'écran d'activation des charges explosives assez efficace permet de grenader précisemment une zone en ayant toutefois en tête qu'un destroyer ne vire pas comme un canot et qu'il lui faut du temps pour terminer un virage et revenir vers l'endroit ou le sous-marin a été localisé. Ici, c'est la fin d'un U-boote... sans émotions particulières. Dans la réalité, les hommes ne tuaient pas hommes mais détruisaient des "cibles". C'est plus facile ainsi

Vers le milieu et la fin de la guerre, les sous-marins lents type VII et IX accrochés par l'asdic des escortes de convois se retrouvaient dans une très facheuse situation. Désespérée même quand ils avaient affaire à un groupe d'escorteurs vétérans, survivants d'engagements passés, comme ceux du Captain Walker, grand destructeur d'U-boote (et donc d'hommes) non pas mort au combat mais de maladie avant la fin de la guerre. Un destroyer tout comme un sous-marin est sourd sur son arrière (sa poupe) à cause du bruit généré par les machines. Conclusion Destroyer Command en mode seul joueur, malgré son aspect rustique et une certaine austérité au niveau de l'interface, une "vague" impression qu'il a été trop vite terminé est un jeu riche et bien conçu qui demande une période de prise en main et d'adaptation. On aurait aimé quelques bonus, comme pouvoir circuler entièrement dans les coursives du navire comme dans un FPS voir des membres d'équipages, pouvoir créer des dossiers de commandants (très importants les personnages dans les jeux Donc, nous n'avons pas la possibilité de créer un personnage dans DC, pas d'extras on vous dit. Que manque t-il à DC en mode solo ? Des campagnes dynamiques et la gestions des bateaux et de l'équipage, ou tout au moins de la carrière du commandant de destroyer. Pour pouvoir s'impliquer dans un jeu, il faut au minimum un avatar que l'on a envie de voir survivre. Un exemple précis de cette gestion des avatars (même si on s'éloigne de DC) dans Ufo-Enemy Unknown par exemple. Destroyer command grace à ses graphismes agréables (et oui !) ravira les amateurs de vraie bataille navale simulée (heureusement parce que sentir le souffle d'un obus de 360 qui tombe sur votre frêle esquif et qui vous emporte, si vous avez de la chance en un seul morceau et en une seule fois. Heureusement Destroyer Command n'est qu'un jeu. En réalité, ces gigantesques parties d'échecs sur l'océan furent un enfer (vraiment) pour de nombreux marins qui ne sont jamais rentrés au port. Quelques petits reproches, "l'ambiance océanique" est loin d'être parfaite, vous n'aurez jamais le parfum de la réalité dans une simulation, sauf quelqu'un invente la matrice ou une interface cerveau -> jeu comme dans Existenz . Ceux qui ont déjà pris le bateau ne retrouveront pas ces odeurs si caractérisques d'huile, de mazout brulé et d'eau salée dans DC Autre élément qui pourrait géner, DC n'est pas traduit en français même s'il existe une version du manuel au format pdf sur notre cédérom. Dans le read-me du projekt Messerwetzer, il est dit que les écrans de fumée (protection des navires au combats) sont possibles mais qu'ils ne servent qu'à faire joli, quand on joue contre l'ordinateur, comme c'est dommage Liens: http://www.netmarine.net/bat/divers/aconit...toire/index.htm - récit sur netmarine.net qui raconte l'engagement d'une corvette française des FNFL, l'Aconit en mission d'escorte de convoi contre des U-Boot http://www.destroyercommand.com/ - Le site officiel de Destroyer Command http://www.ultimation.com/destroyer.htm (Le site DC d'ultimation) http://www.ultimation.com/destroyer_faq.htm - La F.A.Q Destroyer command de ultimation. http://subsim.com/ssr/p_messerwetzer.htm Le patch "projekt Messerwetzer", enrichit la version 1.1 de DC et améliore la stabilité pour les parties en réseau. (multiplayer) http://membres.lycos.fr/liosalz/cabine.jpg - La cabine d'un commandant de destroyer du forum mille-sabords.com, très amusant. http://www.sh2fleet.com/news.htm - Page d'infos en anglais sur SH2 et DC http://www.manoir3portes.net/ - Le seul et unique site de... de quoi au fait ? http://www.junobeach.org/f/4/can-tac-det-f.htm - Un page intéressante sur la détection des sous-marins par asdic ou sonar. "En 1940, un navire en surface pouvait détecter un sous-marin à 2000 mètres de distance." http://www.mikekemble.com/ww2/walker.html - Une page sur le captain Walker, as de la défense des convois et un des meilleurs dans la chasse aux U-Boote. http://www.mikekemble.com/ww2/uboat.html -Très bonne page en anglais sur la guerre sous-marine avec des photos d'époque. Livres: Et toujours dans les bonnes libraries, l'énorme et passionnant pavé de Léonce Peillard pour ceux qui s'intéressent de près à "La bataille de l'atlantique" (Préfacé par l'amiral Dönitz) Quelques captures et commentaires du jeu :

L' image d'introduction pendant le chargement du jeu résume assez bien l'action auquel vous êtes confrontés pendant les campagnes. Un poste de combat important, les canons antiaérien.. Les bombardiers sont effroyablements efficaces et mortels pour les navires dans Destroyer Command.	Notre premier assignement en mode campagne sur le DD 252 McCook. Un vieux "machin", classe "Clemson" fabriqué à la fin de la première guerre mondiale, lancé en 1918 et refourgué aux anglais grace à la loi "cash and carry" (voté en 1939 aux états-unis).Une bonne cinquantaine de destroyers obsolètes seront livrés à l'angleterre dès 1941. Malheureusement, dans DC, nous sommes condamnés à incarner les américains même si nous naviguons avec les anglais	Le sonar ou asdic. Vous pouvez l'utiliser en manuel ou en automatique en deux modes différents, sonar/hydrophones. Par défaut, c'est l'équipage virtuel qui se charge de l'ensemble des détections à votre place.

La carte de la zone pour notre troisième mission. Il s'agit de l'escorte d'un "petit" convoyage de navires de Plymouth vers Douvres. En chemin, nous subissons deux attaques d'avions, des Me-109 et une rencontre de nuit avec un groupe de patrouilleurs allemands.	La passerelle de commandement à la tombée de la nuit par mer forte. Le poste de la passerelle de (touche F4) commandement n'est pas extraordinaire mais il existe... et ne nous servira pas beaucoup. Nous serons davantage à l'extérieur sur la vigie. (Touche F3) Tous les ordres peuvent êtres donnés à partir de la carte. (F2) Le navire peut se piloter simplement en déplaçant les plots de cap dans la zone de navigation. Simple comparaison de la passerelle de notre destroyer avec une modélisation 3D de la passerelle du Titanic dans virtual sailor, ici...	La cabine du capitaine. Deux options: on peut consulter le calendrier et voir le journal de bord, log des des évènements par ordre chronologique qui peut s'avérer utile pour comprendre ce qui se passe autour de vous Voir une personnalisation de la cabine d'un destroyer par un membre du forum mille-sabords.

La radio. Ici vous pouvez relire en détails vos ordres de mission. Utile parfois quand on a pas suivi le briefing avant de lancer la mission	Un autre poste de tir du destroyer. Ne pas utiliser Mieux vaut passer par le poste du directeur de tir. (F7) beaucoup plus efficace.	Le radar, permet à votre navire de détecter tout navire aux alentours en surface. Le poste radar n'existe pas sur les destroyers obsolètes de 1918 (les Clemson) que l'on vous confie lors de vos premières missions de campagne.

L'écran du directeur de tir qui permet de synchroniser toute la puissance de feu des canons du destroyer.	Crash d'un bombardier allemand pris en manuel sous le tir croisé de notre canon de DCA et de celui d'un autre escorteur. Pour ceux qui connaissent, c'est exactement le même principe que dans Silent hunter 2 et on peut zoomer avec la touche W.	Le berger veille sur ses brebis. Au poste du directeur de tir. Un cargo au sein d'un convoi, peut-être un tanker... On peut couler soit-même des bateaux du convoi, mais dans ce cas, on sort du sujet

	>	[img]http://www.mille-sabords.com/images/articles/dc_titre264.jpg[/img]
Voila un navire qui ne sera jamais torpillé par un U-Boote, le Titanic	Un des précurseurs de Destroyer Command, "Advanced destroyer simulator" jeu des nineties. Nous verrons en détails dans un prochain article comment faire pour utiliser quelques vénérables jeux toujours très fun...	Pour ceux qui aiment les simulations de vol, une série d'articles sur FS2004