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Version complète : J'ai défié l'amiral Takeo KURITA
Forums Mille-Sabords.com > Mille-Sabords : Simulations de la 2ème Guerre Mondiale > Silent Hunter 4 > Récits de parties
Gibus
[SH4 patché 1.5 sans mod. Sous-marin USS Flasher (classe Balao). Carrière US.
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Citation (Gibus @ lundi 04 février 2008 à 14:40) *
J’en profite pour relancer une nouvelle carrière depuis juin 44 avec le nouveau mod RTM 1.7-6.
Rendez-vous dans 4 mois pour la suite. Je reviendrai par ici. Promis.

Comme promis, me revoili.
Partis de Perth le 3 septembre 1944, nous devons aller patrouiller en mer de Chine du Sud.
Je n’aime pas trop ce coin, il n’y a pas de fond et peu de cibles. Enfin, les ordres sont les ordres. Au lieu de transiter par la mer de Java, dont je garde un très mauvais souvenir, nous passerons par le détroit de Makassar qui donne dans la mer des Célèbes puis cap à l’ouest pour rejoindre la zone de patrouille.
Moins d’une semaine plus tard, nous sommes sur les lieux et à part quelques patrouilles de chasseurs de sous-marins et dragueurs de mines, on ne rencontre pas grand monde. Il est vrai que les forces japonaises commencent à rétrécir comme peau de chagrin. Au bout de 5 à 6 jours, nous n’avons que deux malheureux cargos au compteur et le niveau de fuel n’est plus qu’à moitié.
Sans rien dire à l’Amirauté, je prends la direction de Mios Woendi pour ravitailler et marauder du côté de la mer des Philippines.
Le 22 septembre, nous patrouillons au sud de Mindanao, dans le bras qui relie la mer des Célèbes à la mer des Philippines. Beaucoup de convois y passent.
25 septembre, contact radar. Il s’agit d’un groupe de combat à 30 km. (Sortant d’un U-Boot, dans la carrière allemande, je dois dire que cet appareil apporte un confort appréciable). A 18 km, nous sommes à l’immersion radar, à 3.000 mètres de la trajectoire. La tactique est simple : on repère le plus dodu, on tape et on se sauve. A 11.000 mètres, identification du destroyer de tête. C’est un Asashio de 2.370 tonnes. Branle-bas de combat, immersion périscopique !
Le convoi arrive à 14 nœuds. Il y a le cuirassé Fuso, le croiseur lourd Takao, un croiseur léger, deux pétroliers plus cinq escorteurs. Ouverture des tubes et réglages des paramètres de tir. A 4.000 mètres, 6 torpilles sortent des tubes avant en direction de la première tourelle du cuirassé. Immersion 80 mètres, à droite toute.
Au 5ème impact, la cible est annoncée détruite. Les destroyers cherchent mais ne trouvent rien, nous sommes déjà hors de portée. Une bonne heure plus tard, nous remontons à 12 mètres pour observer au radar. Le convoi s’éloigne au loin, mais il reste un destroyer à la traîne qui continue de nous chercher, comme si nous pouvions être dans le sillage du convoi. Ils sont curieux ces japonais blink.gif . Nous restons encore un moment en plongée, puis surface à 20 nœuds : je voudrais bien taquiner le Takao. Nous mettons plusieurs heures à remonter le convoi et la nuit est tombée lorsque nous sommes en position. Avec la marche en zigzag, plus question de tirer de loin, mais moins difficile qu’il n’y paraît car la course erratique des escorteurs provoque de larges brèches dans la couverture. Le Takao n’est plus qu’à 1.500 mètres et nous n’avons pas été détecté. 3 torpilles réglées en magnétique vont sceller son sort.
Jusqu’au 3 octobre nous allons rencontrer ainsi deux autres groupes de combat et suivant la même procédure priver la marine impériale d’un cuirassé Ise, d’un Kongo et du croiseur lourd Maya. Le livre de bord affiche plus de 140.000 tonnes, mais plus de torpilles.
Le 6 octobre, nous faisons tous les pleins à Mios Woendi et prenons la direction de Leyte pour notre rendez-vous avec Kurita. Je fais l’hypothèse que si les développeurs de chez Ubi ont reproduit l’embuscade du golfe de Leyte, ils ont dû reproduire la bataille de Samar.
Ayant du temps devant nous, nous allons à petite vitesse mais je multiple les exercices pour que l’équipage ne s’endorme pas sur ses lauriers.
Le 19 nous sommes à la sortie du détroit de San Bernardino, par où Kurita doit venir de la mer de Sibuyan. Je décide d’inspecter le coin, sonder le fond afin de prévoir une éventuelle porte de sortie. En pleine mer, ce n’est pas pensable, nous risquons de le manquer, tout simplement. Le détroit n’est pas une bonne idée car si Kurita ne pourra pas y manœuvrer, nous non plus. Or, je souhaite pouvoir choisir ma position lorsque je l’aurai détecté. Finalement, mon choix se porte sur le S qui alimente le détroit. Je me positionne au fond de la première boucle de manière à ne pas être gêné par la péninsule. Nous prenons la demi-plongée et je mets l’équipage au repos, cela fait 6 semaines que nous sommes partis. Les tubes sont ouverts et réglés à 10,50 m. Nous attendons ainsi jusqu’au 24 octobre, lorsqu’à 18:55 l’opérateur radar annonce qu’un énorme convoi est signalé à l’entrée de la passe. Je me précipite sur l’écran et compte 31 unités sur 3 colonnes protégées par 4 divisions de destroyers sur l’avant. Oups, je ne m’attendais pas à ça, mais c’est bien Kurita qui arrive. Je dois dire que je suis un peu angoissé, mais surtout ne pas le montrer…
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Les Dev de chez Ubi ont bien travaillé, mais manifestement, ils ont oublié que Kurita avait eu des pertes en route dont le cuirassé Musashi. 31 unités, c’était au départ de Bornéo. Depuis, il s’est passé bien des choses ….
Bon, je retourne à la carte, trace la route du convoi et prend ma décision. Impossible d’attaquer sur les flancs, il faut rentrer par l’avant en espérant que conformément à leur habitude les japonais n’y auront mis qu’un destroyer. Surface, en avant toute, cap au 340 pendant 7 km :
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On fonce à 21 nœuds et je surveille en permanence que la distance ne soit pas inférieure à 18 km. Au bout de 6 km , j’ordonne l’immersion radar, 1.000 mètres plus loin : cap au 240 car l’escadre commence à évoluer pour prendre le virage. Impressionnante, la manœuvre de cette flotte !
19:15 Un Asashio est détecté à 9.000 mètres à 22 nœuds. Nous sommes en plein sur sa trajectoire. Aux postes de combat, immersion périscopique, modification de la vitesse des torpilles pour 46 nœuds, cap au 180, en avant 2/3.
19:23 Le destroyer se rapproche dangereusement et nous nous traînons comme des limaces. J’ai pu cependant repérer le Musashi, frère du Yamato, 3ème de sa file cap sur nous. Immersion 80 mètres, cap au 210, vitesse 2 noeuds. Quelques minutes plus tard, la tête de convoi passe au-dessus de nos mâts. Nous n’en menons pas large.
19:34 Le second de la file est à moins de 100 mètres devant : immersion périscopique ! cap au 260 ! Nous remontons lentement. A 60 mètres, on se fait pinguer, j’hésite un peu puis décide de repasser sous la couche encore deux ou trois minutes, en avant demie. Les échos sonar ont cessé.
19:36 Immersion périscopique. A 60 mètres, de nouveau pingués. Ca vient forcément de notre arrière et les échos sont très rapprochés. En avant toute, à 25 mètres, ouverture de tous les tubes. Le périscope crève la surface, le Musashi est à 1.200 mètres par 30° tribord, ralenti à 11 nœuds et nous présente tout son flanc. Nous avons deux destroyers aux fesses à moins de 800 mètres. En avant Flank, à gauche toute, nous allons tirer en giration. Tubes 1 à 6 feu sur la tourelle n°2. Moins de 90 secondes plus tard, 6 impacts sont enregistrés, les tubes arrières ont une solution de tir. Les destroyers sont à 250 mètres. Tubes 7 à 10 feu ! Plongée rapide, à droite toute pour se réfugier sous les suivants de la colonne. Le cuirassé encaisse les 4 torpilles. A 60 mètres, en avant 1/3. Silence partout.
19:41 Fin du Musashi (désolé Tonton Jacques whistling.gif ) :
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20:09 Nous remontons à l’immersion périscopique. Le convoi s’éloigne au nord-est et un Asashio stationnaire à 1.800 mètres nous empêche de courir après.
20:18 2 torpilles sont lancées contre le destroyer, la seconde 30 mètres devant au cas où il aurait la mauvaise idée de démarrer. Touché, coulé. Surface. Nous allons passer par le sud-est, abrités derrière les îles ; à 20 nœuds nous devrions faire la jonction avant l’entrée dans le détroit. J’ordonne le débrayage des alternateurs pour gagner 1 ou 2 nœuds.
23:00 Nous avons sérieusement remonté le convoi, mais force est de constater que nous n’arriverons pas à prendre une position d’attaque. On lève le pied pour rester derrière en attendant de voir comment se déroule l’entrée en mer des Philippines :
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00:30 Kurita a la bonne idée de s’éloigner des côtes ce qui nous laisse de la place pour le remonter. Nous rasons le rivage.
07:00 Au prix de mille ruses avec les destroyers, nous avons réussi à nous placer en avant du convoi, qui a perdu cette nuit 2 unités d’escorte échouées sur les îles. Sur le navire-amiral Yamato, Kurita a ordonné d’ouvrir le feu à 35 km sur les porte-avions américains. Ceux-ci envoient leurs escadrilles sur la flotte japonaise. C’est le début de la bataille de Samar. Nous sommes en plein milieu :
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07:22 L’aviation a semé une certaine panique dans l’escadre, pour ne pas dire une panique certaine. Les escorteurs n’assurent plus leur mission ASM tandis que les navires de ligne essayent tant bien que mal d’infliger des pertes aux porte-avions américains à coups de canons. Nous sommes à 3.000 mètres du Yamato qui zigzague à 20 nœuds. Lancer de si loin serait gaspiller 6 torpilles, le Kongo qui suit dans la file sera notre prochain objectif.
07:27 5 torpilles ont eu raison du cuirassé. Suivent derrière le croiseur lourd Takao, blessé par l’aviation et le cuirassé Fuso tous deux à 8 nœuds.
07:37 Le Takao s’en prend une et coule.
07:42 Le Fuso encaisse mes 4 dernières torpilles AR et coule. Pas un destroyer à l’horizon proche. Il reste une torpille dans le tube n°1.
08:30 Surface. Cap au 150 pour voir ce que devient Kurita.
09:20 L’escadre japonaise est de nouveau visible sur l’écran radar à 25 km. Il ne reste que 15 unités en formation, un croiseur de classe Takao est immobile et en feu à 9.000 mètres. Immersion périscopique, en avant demie, cap au 180.
10:00 La dernière Mk-14 sort de son tube et achève le croiseur à 10:02. Surface, cap au 150.
12:30 L’aviation a cessé les raids. Kurita s’enfuit vers le sud avec seulement 12 unités. Après 17 heures de combat, nous prenons le chemin de la base :
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2 novembre 1944
Amarrage à Perth. La fanfare est sur les quais.
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L’amiral Spruance, à qui nous avons sauvé la mise, arrivé par avion, vient personnellement me remettre la médaille d’honneur et 5 autres pour l’équipage.
Bon ça c’est dans mes rêves, mais pas les médailles qui sont bien vraies.
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Au vu des états de service, on me confie le commandement d’un nouveau sous-marin, l’USS Pintado, lancé le 15 septembre 1943, curieusement le jour de mon anniversaire.
Au moment de signer en bas de la feuille, j’ai la surprise de voir que mon équipage s’est étoffé de 5 spécialistes :
- un officier médecin
- un officier propulsion
- un officier théoricien
- un officier expert machines
- un officier expert radar
Bien que je sois très content, j’aurais préféré un expert hydrophone, à la place du théoricien, pour mettre en service ce foutu appareil qui ne veut pas fonctionner.

Voilà, pour ceux qui aiment autre chose que les cargos isolés ou les groupes de combats US en file indienne, je vous invite dans la campagne US qui m’a proposé une 4ème rencontre avec l’Histoire.
gerard
Bravo Gibus pour la qualité de ce récit.
sunnybill
Bin mon vieux,ça c'est du bon boulot... biggrin.gif N'ont qu'a bien se tenir les japonais
Gibus
Citation (gerard @ lundi 31 mars 2008 à 10:47) *
Bravo Gibus pour la qualité de ce récit.

Heureusement ce n'est pas le récit le plus compliqué, c'est d'en revenir vivant pour l'écrire. biggrin.gif
exorciste de strasbourg
Belle narration Padre Gibus!
Puissent les japonais te le pardonner un jour! tongue.gif

Nemo
Bien joué gibus j'ai une mission du même genre sur DW (attaque d'une task force) sur la même carte et je te confirme que le choix de ta première position d'attaque est la meilleure personnellement j'ai attendu dans le détroit de San bernardino et je t'avoue que les possibilités de fuites sont maigres crying.gif
Gibus
Citation (MS-Nemo @ lundi 31 mars 2008 à 15:38) *
.... je t'avoue que les possibilités de fuites sont maigres crying.gif

Surtout avec un SNA !
Merci, l'avis d'un expert fait toujours plaisir. smile.gif
Nemo
wink.gif mais je t'en prie.

En fait le soucis se situe surtout au niveau des fonds ils ne sont pas très important, à ça tu ajoutes quelques haut fonds mal placé et quelques îles et pop tu te retrouves dans un vrai piège ph34r.gif
Mike le breton
Très instructif et très belle performance smile.gif

Superbe tactique, risquée mais de toute évidence, payante biggrin.gif

Hummm !! fin stratège, chapeau bas.

Ca sent la tournée générale smiley28.gif
Rico59
smile.gif au delà de la performance, je tiens également à souligner la qualité du récit et de ses illustrations, passionnants de bout en bout !

Merci Gibus
Klaus Von Othioten
Joli récit ! Bravo pour ton tableau de chasse !

Par contre tongue.gif la Medal of honor ressemble plutôt à ça :

Gibus
Bin, j'ai pris ce qu'ils m'ont donné ... biggrin.gif
A moins que je n'aie pas su traduire ??? sad.gif
Je sens bien la controverse arriver sur cette affaire, hein Mme Brochard ?
locutus
Passionnant ! bien.gif
Beau récit, belles manoeuvres, beau résultat (300k tonnes!!), moi y'en a être impressionné.
Bon maintenant padre, vous savez ce qu'il vous reste à faire. Nous attendons la suite avec impatience excl.gif


french_cig_nomo.gif
Gibus
Citation (locutus @ jeudi 03 avril 2008 à 06:47) *
Nous attendons la suite avec impatience excl.gif
french_cig_nomo.gif

Suite qui peut être partagée ensemble, ICI
locutus
Plein de confiance dans notre Commandant Gibus, l'ami Locutus clique sur le lien. Grrrr22.gif
Bien tenté Commandant, votre piège marche à merveille ! Hélas, trois fois hélas, je ne suis pas opérationnel pour les parties multi.

Bon courage pour la suite.


french_cig_nomo.gif
Fabula
Excellent compte rendu de mission Gibus, y a pas à dire les screenshots illustrant le récit ça ajoute un plus !

Pour les médailles tu as bien traduit : leurs images dans le jeu ne correspondent pas à leur noms, et c'est encore plus navrant pour les médailes à distribuer à l'équipage, dont non seulement les noms ne correspondent pas à l'image, mais dont les images changent quand on les attribue à un membre d'équipage dry.gif .

A part ça un truc m'inquiète dans ton récit : l'hydrophone du Balao ne fonctionne vraiment pas ? crying.gif

Si c'est le cas je ne prendrai pas ce soum, j'estime que dans une simu au moins les appareils principaux doivent être fonctionnels.
ChrisSub69
Whaou moi qui peine à depasser 50 000 tonnes sweatingbullets.gif je trouve ton tableau de chasse hallucinant

GG
Gibus
Citation (Fabula @ jeudi 03 avril 2008 à 13:17) *
A part ça un truc m'inquiète dans ton récit : l'hydrophone du Balao ne fonctionne vraiment pas ? crying.gif

Si, il fonctionne mais comme j'étais habitué au mod de Ducimus, je ne savais pas le faire marcher.
Depuis, U768 m'a expliqué.
Gibus
Citation (ChrisSub69 @ jeudi 03 avril 2008 à 17:59) *
Whaou moi qui peine à depasser 50 000 tonnes sweatingbullets.gif je trouve ton tableau de chasse hallucinant

GG

Certes, mais je ne calcule pas mes solutions de tir. D'ailleurs, je me demande quel doit être le taux de réussite au milieu d'une escadre alors que tu viens juste de sortir le périscope et que tu cherches tes cibles ...
Ce qui m'intéresse dans la simu, c'est l'approche sans se faire repérer. Après je considère que le Commandant avait suffisamment de subordonnés pour tracer les routes et calculer tous les paramètres. Faire ça tout seul me paraît un peu insurmontable, en plus de régler les torpilles, ouvrir les tubes, etc. Enfin, c'est mon avis.
Pour relativiser encore, j'ai usé 2 fois 24 torpilles.
exorciste de strasbourg
Tu es sur la bonne voie Michel! Mais laquelle? tongue.gif
Gibus
Certaines sont impénétrables ... tongue.gif
exorciste de strasbourg
Cliquez pour voir le fichier-joint
Gibus
Citation (locutus @ jeudi 03 avril 2008 à 13:10) *
Bien tenté Commandant, votre piège marche à merveille !

Je caresse l'espoir que ce n'est pas notre différence de tonnage coulé qui t'incite à me vouvoyer. biggrin.gif
Sinon, je ne coule plus rien.
locutus
Non ce n'est pas le tonnage, ça serait plutot la date de naissance... whistling.gif
Alors maintenant que j'ai dit ça, ça va chier dans le ventilo. pinch.gif
Plus sérieusement, étant plus vieux que mon père, ça me fait drôle de te tutoyer. happy.gif
(j'inaugure le "une phrase un smiley")


french_cig_nomo.gif
Gibus
Citation (locutus @ vendredi 04 avril 2008 à 06:51) *
Plus sérieusement, étant plus vieux que mon père, ça me fait drôle de te tutoyer. happy.gif

No problème. Derrière le périscope, on est tous égaux. wink.gif
Protoss
Excellent récit j'ai cessé de travailler quelques minutes pour le lire en entier superbe j'adore, ca me donne envie de quitter le boulot sur le champs et d'aller plonger avec mon Balao en buvant un petit kir bien frais smile.gif

Merci c'etait super smile.gif
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