Le vocable pilotage reprend ici tout son sens...
Pas d'automatismes, tout se fait à la force des poignets.
On ressent bien le torque des avions à hélice: en vol, à la mise des gaz, l'avion part en roulis à droite, et inversement quand on réduit.
Damned, n'espérez pas compensez au trim, il faut travailler au palonnier.
Pour l'instrumentation, c'est plutôt sommaire. Pas de HSI mais juste un compas avec le nord toujours en haut.
Il va falloir s'habituer même si je pressens que tout se fera davantage au feeling.
J'ai tenté une boucle: échec, car je n'ai pas d'indicateur d'assiette.
J'ai pris les commandes directement en vol. Pour autant, je n'ai pas réussi à atterrir
Enfin, si, en pylône et avec l'appareil en feu
Je note toutefois un petit regret: la visibilité est moins bonne que sur d'autres appareils mais reste très correcte.
Bref, y'a du boulot, mais je sens que le plaisir sera à la hauteur des efforts. Placer l'ennemi dans le viseur ne sera pas une mince affaire.
En revanche, avec 2 mitrailleuses et un canon dans le nez de l'appareil, malheur à celui qui se retrouvera dans mes 12H
En vol, les reflets du soleil rasant ajoute une touche de réalisme hors du commun:
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Demain matin, je continuerai à travailler sur le profil du joystick. C'est indispensable car les mouvements sont actuellement trop sensibles.
Et avant d'attaquer les doggys, il faudra pouvoir démarrer l'appareil, l'aligner, et le mettre en l'air
Vivement la sortie de la carte Normandie!
