J'ai enfin réussi à faire aussi bien que les russes en 1961: envoyer un homme faire quelques tours autour de notre planète et à le ramener vivant sur terre.
Ca n'a pas été simple, car il y a quelques concepts du jeu à bien intégrer, ainsi que certains principes physiques à assimiler.
Mode carrière en difficulté normale, je galère pour gagner des points de science mais à force de faire, défaire et recommencer, je commence à comprendre un peu même si certaines choses m'échappent encore
Ma 1e fusée pour me rendre à plusieurs centaines de kilomètres de la surface. Notez les petits ingénieurs kerbaliens qui s'affairent autour.
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Comme les congolais, je décolle de nuit: en cas d'échec, ce sera moins visible
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Et première rentrée atmosphérique: le dernier étage, que j'ai gardé pour disposer de carburant afin d'effectuer quelques manoeuvres, risque d'exploser. Tant pis pour la décélération antigrade: je procède à la séparation de la capsule habitée que l'on voit ici en train de se détacher:
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Pour ne rien vous cacher, j'ai pas mal galéré car je ne savais pas comment me séparer des booster axiaux. J'ai donc dû bidouiller avec les moteurs et les réservoirs dont je disposais mais je perdais énormément en aérodynamisme et en poids inutiles une fois ces réservoirs vides. Mais, à 19H12 locales ce 23/03, j'ai trouvé comment larguer ces propulseurs à poudre.
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Pour SOL: je ne sais pour quelle raison, dans le séquencement (en bas à droite sur la copie d'écran ci-dessus), ils s'insèrent en haut avec le parachute. Il me suffisait juste de les mettre tout en bas, en "7".
Et moi qui m' évertuait à me demander si ce n'était pas une histoire de symétrie, d'objet mère, ou d'imbrication visuelle au poil de cul près...
A présent, mon objectif, à moyen terme, sera:
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Mais beaucoup d'eau coulera encore sous les ponts d'ici là!
Les russes s'y sont cassés les dents et les ricains ont du dépenser des milliards pour y parvenir