Car ne n'oublions pas: il faut se méfier des gens qui vendent des outils et qui qui ne s'en servent pas
Le décollage s'effectue très simplement. Dès le départ, vous pouvez bloquer le nose wheel steering, si correction mineure il doit y avoir, vous pourrez l'effectuer au palonnier.
A vide, l'appareil soulève naturellement le nez vers 160 kts. Mais attention, il n'en sera pas de même lorsque l'emport sous voilure sera conséquent: il faudra alors tirer sur le manche. Si vous le laisser prendre de la vitesse au sol, assurément vous endommagerez le train...
L'atterrissage est presque un jeu d'enfant: on dispose des mêmes outils que sur les autres appareils occidentaux.
Tout comme le F-16, il allonge pas mal mais les freins me semblent un brin plus efficaces. De toute façon, il y a un parachute sous la dérive, tels beaucoup de Sukkhoï russes.
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Quant au pilotage, il est vraiment plaisant. Les commandes sont un peu trop vives et j'ai du mettre de la courbe sur tous les axes.
D'ailleurs, ici, le palonnier reprend tout son sens. Sur le Net, pas mal de testeurs partagent le même avis.
Avec un peu d'entraînement, je suis parvenu à marquer le stop à mi-piste avec les volets pleins sortis. Certes en configuration lisse, mais sans l'aide du parachute:
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Prochaine étape: la navigation. Mais pour cela, j'attends la mise en ligne de tutoriels.
Voilà pour mes premières impressions après 2 ou 3 heures de vol.
En tout cas, c'est une magnifique découverte. Pas parce que c'est une nouveauté, mais parce qu'il correspond bien à mon caractère, puisque je préfère l'attaque au sol au combat air-air.
Même s'il parait un cran sous le F-16, ça reste un très bon petit chasseur multi-rôle.
D'ailleurs, les planches de bord relativement dénuée se retrouvent dans la simplicité de la mise en oeuvre générale.
Bref, vous l'aurez compris, ce truc là , je l'adore déjÃ
